Un rapport de 2015 atteste que les premières victimes des agressions en France sont les femmes. Dans les lieux publics, de plus en plus de femmes sont victimes d’insultes, de gestes déplacés ou même d’agressions. En 2014, 508 000 femmes disent avoir subi des violences physiques en dehors de leur ménage, contre 421 000. Un constat inquiétant pour l’avenir.
Nombreuses startups lancent des services citoyens pour rassurer et aider les personnes en situation de détresse.
Deux entrepreneurs marseillais ont eu la volonté de servir l’intérêt général en sécurisant le quotidien de tout un chacun. Chaque fois que l’intégrité physique d’un citoyen est menacée, l’entraide, la solidarité et la communication entre les « utilisateurs » situés à proximité permettent de trouver une solution adéquate.
Qu’il s’agisse d’une femme craignant pour sa sécurité tard le soir, ou d’une mère ayant perdu son enfant au centre commercial, chacune de ces situations nécessite l’intervention parfois urgente d’autrui.
En d’autres termes, Qwidam est le premier média de proximité citoyen à mettre un point d’honneur au respect de l’intégrité physique lorsqu’elle est menacée.
Un cas d’urgence ou de difficulté, (la victime) prévient en un clic via l’application les utilisateurs à proximité, ces derniers étant alertés grâce à une notification instantanée..
Le projet est né durant l’été 2014. Henri et Jonathan, 34 ans, sont amis depuis plusieurs années et partagent la même volonté d’innover et de servir l’intérêt général en améliorant la sécurité des citoyens. Tous les deux, entrepreneurs et « connectés », regardent les systèmes existants mais ne trouvent pas un service correspondant à leurs attentes. Au fil des discussions et au cours de longues soirées animées qwidam prend forme. Très vite cela s’impose comme une évidence, il faut en faire une réalité, donner un avenir à ce nouveau service, pour eux, pour les générations à venir et pour tous les citoyens qui rêvent d’un monde différent avec plus de solidarité et plus de sécurité.
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