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Infos Paris.

La compagnie ferroviaire Trenitalia lance aujourd’hui ses ventes d’hiver depuis Paris, et poursuit le développement de ses propositions au départ de la capitale.

  • •Entreprise ferroviaire italienne, Trenitalia est le 1er opérateur européen arrivé sur le marché ferroviaire français en 2021 dans le cadre de l’ouverture à la concurrence de la SNCF.
  •  la compagnie ouvre ses ventes d’hiver pour les lignes au départ de Paris, reliant Lyon, Marseille et Milan, en Italie. Les réservations seront possibles jusqu’à la mi-mars.
  • •Les prix de départ ont aussi été précisés : 23 € pour un Paris-Lyon et 27 €pour Paris-Marseille, ligne lancée le 15 juin avec 4 allers-retours par jour et qui passe également par les gares d’Avignon TGV et Aix-en-Provence TGV.
  • •Les voyageurs devront compter minimum 35 € pour un Paris-Milan, avec des étapes à Lyon, Chambéry, Saint-Jean-de-Maurienne, Modane, Turin et Oulx.

  • •Le groupe italien a aussi annoncé une augmentation du nombre de trajetsproposés entre la capitale et Lyon, passant de 9 à 14 allers-retours quotidiens, dès le 14 décembre prochain.
  • •Tous seront toujours opérés par leurs trains à grande vitesse Frecciarossa.
  • •« Plus d’un tiers de l’offre sera assurée par Trenitalia entre les deux métropoles, illustrant le virage pris par la compagnie vers une présence forte et durable sur cet axe stratégique », souligne la compagnie dans un communiqué.
  • •« Ces projets stratégiques confirment notre volonté de jouer un rôle majeur dans la mobilité ferroviaire en France », expliquait le président de Trenitalia France, Marco Caposciutti, en début d’année, signe de l’importance du marché français pour l’entreprise.

 

La Builders Factory, qui propose un mois d’accompagnement intensif aux projets entrepreneuriaux, lance aujourd’hui sa 4e session.

  • •Fondé par Chloé Baruchel et Martin Cregut, deux jeunes entrepreneurs ayant des années d’expérience dans la création d’entreprise et la gestion stratégique, Builders Factory est un projet d’accompagnement au développement entrepreneurial proposé à Paris.
  • •« C’est un programme de 28 jours pour accélérer ton projet, ta boîte, ta vie », résume son fondateur dans une vidéo publiée sur le site de l’entreprise.
  • •Concrètement, Builders Factory propose de réunir une cinquantaine d’entrepreneurs ou porteurs de projets, pendant un peu moins d’un mois, au sein d’un programme intensif et immersif.
  • •Ce lundi, le jeune programme, qui a déjà accompagné plus de 150 entrepreneurs en un an, lance sa 4e session.

  • •La formation offre un accès aux locaux (dans un hôtel particulier au cœur de Paris) durant un mois, plus d’une douzaine d’interventions d’entrepreneurs reconnus et une vingtaine de défis et ateliers, mais aussi des opportunités de développer un réseau.
  • •En fin de cursus, une session de pitch est organisée devant des investisseurs et des spécialistes du capital-risque.
  • •La formation est proposée à 1 490 €.
  • •La prochaine session est prévue du 10 novembre au 7 décembre, et les inscriptions sont déjà ouvertes ici. Une réduction est prévue jusqu’à ce soir, avec un prix de 990 €.

  • •Qu’ils concernent le monde de la tech, des services, l’économie sociale ou la création de contenus, Builders Factory accueille une grande variété de projets.
  • •Il n’y a « pas de niveau d’expérience requis » et le dispositif peut convenir à des projets « en phase de démarrage ou déjà lancés », précisent les organisateurs.
  • •L’âge moyen des participants est de 33 ans.
  • •Des précisions sur la formation et des témoignages sont accessibles ici ou sur la chaîne Youtube de Builders Factory.

Le Paris Coffee Show, salon dédié au café, termine son édition 2025 ce lundi au Parc Floral (12e). Christophe Servell, torréfacteur, fondateur de Terres de café et vice-président du Collectif Café, organisateur de l’événement, évoque l’évolution de la filière en France et dans la capitale.

  • •Créé il y a 25 ans sous forme de congrès professionnel, le Paris Coffee Show s’ouvre depuis 6 ans au grand public pour répondre à l’intérêt croissant autour du café.
  • •Baristas, gérants de coffee shops, torréfacteurs, fabricants de machines… Tout l’écosystème est représenté, avec une programmation composée de dégustations, démonstrations et conférences.
  • •« La filière est en développement partout, explique Christophe Servell. Depuis 5 ans, on voit une vraie explosion et la profession de torréfacteur renaît de ses cendres, avec une montée en gamme. »
  • •Selon lui, cela s’explique par une conjonction de facteurs : « une forme de prise de conscience écologique et économique sur les capsules, les progrès de marchands de machines à café, une offre de café de spécialité qui n’existait pas avant, et moins d’écart de prix », énumère-t-il.

  • •« À Paris, on compte 20 % de coffee shops en plus en 5 ans », souligne-t-il.
  • •« On observe un vrai changement d’habitudes et de lieux de consommation. Les premières victimes sont les brasseries et bistrots parisiens », pointe-t-il.
  • •Ce phénomène s’accompagne d’une augmentation du nombre de torréfacteurs et des petites maisons, les « micro-roasters », notamment à Paris.

  • •« Le café est un produit complexe, dont la production doit s’inscrire dans un circuit court, avec pas plus d’un intermédiaire, qui est le torréfacteur », soutient Christophe Servell.
  • •« Au Collectif Café, nous essayons de sensibiliser le grand public au fait qu’acheter du café de meilleure qualité, même s’il est un peu plus cher, permet aussi de garantir de pouvoir encore en consommer dans 10 ans », conclut-il.

Parisien d’origine, Didier Grosjean a découvert le métier de fromager sur les marchés parisiens. Avec son associée Chloé Salgado, ils ont fondé il y a un an et demi la fromagerie Source, et viennent d’ouvrir un 2e établissement, au 97 rue Didot (14e), en plus de celui du 102 rue du Chemin Vert (11e).

Fils de commerçants, Didier Grosjean a grandi dans le 10e, près du marché couvert Saint-Martin, où il avait ses habitudes. Quand, à 15 ans, il cherche à gagner un peu d’argent de poche, c’est naturellement qu’il se tourne vers le fromager du marché. « D’abord, c’était quelques heures après les cours, puis les week-ends. Et finalement, j’y ai fait mon apprentissage et je suis resté 5 ans là-bas. Mon tuteur m’a appris le métier, je n’aurais pas pu rêver mieux ». Déjà, il apprécie le contact avec les clients et porte une attention particulière à la qualité des produits.

Après quelques années dans différentes maisons et une pige dans la restauration, il revient à la fromagerie avec un nouveau projet : monter sa propre entreprise. « Avec ma compagne Chloé Salgado, nous avons créé Source il y a un an et demi, raconte-t-il. C’est une aventure familiale, et nos premiers pas se sont bien passés ». Et pour cause, Source vient tout juste d’ouvrir un nouvel établissement, et a même été récompensé il y a quelques semaines en recevant le Prix Goût D’entreprendre, remis par la Ville à des artisans des métiers de bouche dans leur 1re année.

Le couple propose des fromages essentiellement fermiers mais aussi des vins « vivants ». « Nous sommes vraiment vigilants à l’origine de ce que l’on propose. On privilégie le direct, et le fait d’avoir deux boutiques va nous permettre de faciliter le transport notamment », souligne celui qui ne manque pas de saluer tout passant jetant un oeil curieux à sa nouvelle échoppe. Il confie avoir toujours le plaisir de chercher et découvrir de nouveaux produits. « Aujourd’hui, je ne me vois pas faire une semaine sans aller sur le marché à Rungis, même si ça implique de se lever deux fois par semaine à 4h30 », sourit-il, signe d’une passion inchangée.

REVUE DE PRESSE

Le Centre Pompidou bientôt inscrit aux Monuments historiques

Dans une interview à nos confrères du Figaro, Laurent Le Bon, président du Centre Pompidou (4e), révèle, à quelques jours de la fermeture de l’établissement pour des années de travaux, que celui-ci devrait être inscrit aux Monuments historiques en 2026.

Sur le périphérique parisien, plus de 25 000 PV en quatre mois

Depuis la mise en place de la verbalisation aux contrevenants à la voie réservée aux covoiturages sur le périphérique parisien en mai, 25 825 PV ont été distribués, à 135 euros 🙁 relate Le Parisien.

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