L’Alpine Paris Major Premier Padel, tournoi international de padel, se déroule d’aujourd’hui à dimanche à Roland-Garros (16e). Un important coup de projecteur pour cette discipline qui ne cesse de gagner en popularité, y compris dans la capitale.
•Les terrains de Roland-Garros, habitués du tennis, accueillent cette semaine un autre sport de raquette, le padel, proche du squash et se jouant sur un terrain entouré de vitres.
- •L’Alpine Paris Major est l’un des plus gros tournois internationaux de padel de l’année.
- •Les qualifications ont lieu ce lundi, avant le début du tableau principalmardi. Billetterie ici, dès 15 €.
- •Trois Françaises, Alix Collombon, Léa Godallier et Carla Touly, sont directement qualifiées pour le tournoi, et 13 autres Tricolores ont reçu des invitations leur permettant de participer.
- •L’édition 2024 avait réuni 64 000 spectateurs.
•Alpine propose dès aujourd’hui un stand autour de l’automobile au Jardin des Mousquetaires, dans l’enceinte du stade. Des véhicules sont exposés et des simulateurs de monoplaces sont accessibles.
- •Un tournoi d’exhibition réunira des personnalités et des initiations au padel-fauteuil auront lieu samedi.
- •À partir de jeudi, et jusqu’à dimanche, un court éphémère sera installé dans le cadre exceptionnel de la place Vendôme (1er).
- •Autour, les spectateurs pourront retrouver des boutiques du tournoi et de multiples animations. Ils profiteront également d’une billetterie pour les rencontres se déroulant à Roland-Garros.
•De nombreux terrains ont vu le jour depuis une dizaine d’années dans la capitale.
- •Les Parisiens peuvent notamment jouer au Forest Hill Aquaboulevard (15e), au centre sportif Jules-Ladoumègue (19e), au Paris Padel (20e) ou dans le nouvel espace 4Padel (20e).
- •La liste complète des terrains est accessible ici.
Tout juste ouvert dans le 2e, Babi bouscule les codes. Ni bar à vin, ni table gastronomique, le lieu revendique une identité hybride, à l’image de Jérémie Taché, cofondateur du lieu, qui a troqué un avenir en cabinet de conseil pour la restauration.
Babi est né de la rencontre entre Jérémie Taché et le chef Néo Guerin dans les cuisines de Shabour, restaurant étoilé du 2e. Leur histoire commune se prolonge chez Tekés (2e), où le projet d’ouvrir un établissement s’étoffe : « On voulait un lieu à nous, qui nous ressemble, où l’on partage tout, des idées aux assiettes », raconte Jérémie Taché. Quelques mois plus tard, Babi ouvre dans un ancien local de la Maison de la Poutine, entièrement repensé avec l’agence parisienne Ono Studio.
Ici, tout se partage. La carte, pensée à 4 mains, « autour d’une bière ou selon nos envies », est mouvante et de saison. « L’autre jour, un plat que le chef n’aimait plus a été remplacé dans la journée, et c’est devenu l’un des plus gros succès », sourit Jérémie Taché. D’un pigeonneau désossé garni de riz vinaigréaux algues bretonnes à des moules accompagnées d’un siphon au bleu en clin d’œil aux vacances d’enfance du chef dans les Landes, chaque assiette raconte une histoire.
Avant de bifurquer vers sa passion du vin, Jérémie Taché, né à Bruxelles, a grandi à Paris et étudié l’audit à la Sorbonne. « En parallèle, j’ai toujours travaillé en restauration. À la suite de mon master, j’ai choisi de me consacrer au secteur qui m’intéressait le plus », raconte-t-il. Après un été à apprendre sur le taschez Shabour, sa « grande curiosité » le pousse à s’y plonger corps et âme. Cette année, il a même participé au concours du Meilleur jeune sommelier de France. « Le vin est un monde où l’on ne s’ennuie jamais. À Babi, la carte reflète mes coups de cœur, avec une belle place faite aux vins étrangers », conclut-il.
Babi est ouvert du mardi au samedi, de 19h à 00h, au 11 rue Mandar (2e).
La Ville lance ce lundi la 3e édition du Budget participatif d’Eau de Paris, dispositif qui permet d’allouer une enveloppe totale de 250 000 € au soutien de projets liés à l’eau.
•Eau de Paris, régie de la Ville chargée de l’approvisionnement de la capitale en eau, relance aujourd’hui cet appel à participation.
- •Son objectif affiché est d’ « impliquer les Parisiens dans la construction d’un avenir sobre et solidaire de l’eau potable », explique Eau de Paris.
- •Les projets peuvent concerner l’accessibilité à l’eau pour les publics défavorisés, l’éducation des jeunes ou la sensibilisation du grand public à la préservation de cette ressource.
- •Chaque subvention accordée ne peut excéder 25 000 €.
•La démarche reprend aujourd’hui avec l’ouverture de la phase de dépôt des projets, qui sera accessible jusqu’au 7 novembre.
- •Suivra une étude de faisabilité effectuée par les services d’Eau de Paris, avant l’ouverture au vote des Parisiens du 29 janvier au 18 février.
- •Les lauréats seront annoncés le 26 février, avant la mise en œuvre des projets jusqu’à la fin 2027.
•L’année dernière, 17 démarches ont été soutenues, sur 64 propositions déposées.
- •Elles sont très variées : la mini-série de sensibilisation aux enjeux liés à l’eau L’Atelier Compte-Gouttes, l’aide aux démunis en période de canicule proposée par l’association La Mie de Pain ou le développement de classes « eau et climat » avec la Coordination EAU Île-de-France.
- •Le développement d’une application Eau de Paris permettant de connaître les fontaines d’eau potable les plus proches a aussi été épaulé grâce à ce budget participatif.
Plusieurs rendez-vous sont organisés à Paris à l’occasion des Journées nationales d’action contre l’illettrisme, qui commencent ce lundi.
•L’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI) organise jusqu’au 15 septembre la 12e édition de ses Journées Nationales d’Action contre l’Illettrisme (JNAI).
- •« L’illettrisme perdure parce que les personnes qui en souffrent dissimulent leurs difficultés : elles en ont honte et pensent qu’il n’existe pas de solution. Nous aimerions que cela change », déclare Cécile Jaffré, directrice de l’ANLCI.
- •Les JNAI sensibilisent aussi à l’innumérisme (difficultés face aux chiffres et aux raisonnements mathématiques) et à l’illectronisme (difficultés face aux outils numériques).
- •Cette année, une attention particulière est portée aux moins de 30 ans.
•3,7 millions d’adultes sont concernés par l’illettrisme et l’innumérisme en France, et 25 % d’entre eux ont moins de 30 ans.
- •11 % des jeunes de 18 à 29 ans rencontrent des difficultés importantes pour lire, écrire, compter ou utiliser les outils numériques.
- •« Le mouvement des JNAI vise à encourager les personnes concernées par l’illettrisme à témoigner, à faire le premier pas vers un accompagnement », explique l’agence.
•Plusieurs dizaines d’événements, parmi les 1 500 programmés en France, se déroulent à Paris.
- •Des réunions et ateliers de sensibilisation sont prévus ce lundi à Paris, que ce soit dans des entreprises ou à destination du public, notamment à France Travail. Liste complète ici.
- •Le Centre de ressources illettrisme et maîtrise de la langue (CDRIML) proposera mercredi, de 9h30 à 16h30, au Cafoc (19e), un atelier pour développer ses compétences à l’écrit.
- •Jeudi, l’organisme de formation Langues Plurielles présentera ses prestations d’accompagnement de 9h à 12h dans les locaux France Travail Saint-Petersbourg (8e).
- •Les associations parisiennes de lutte contre l’illettrisme sont recensées ici.
Les prix de l’immobilier parisien augmentent à nouveau
En un an, les prix de l’immobilier parisien ont connu une augmentation de 2,3 %, selon le baromètre du site SeLoger-Meilleurs Agents, rapporte Le Parisien. Une reprise après une diminution de 4,3 % l’année précédente et un repli total de 11 % entre septembre 2020 et septembre 2025.
Une innovation pour faire baisser les charges
La Régie immobilière de la ville de Paris va progressivement déployer, d’ici à 2026, 22 000 chauffe-eau novateurs, développés par la startup Elax Energie. Équipés d’un boîtier capable d’analyser les usages réels et d’ajuster les températures du lieu, ils doivent permettre de baisser les charges des locataires, explique Actu Paris.