TENTATIVES DE TROUS POUR VOIR LE CIEL À TRAVERS
9 mai à 21h / 10 mai à 21h
Tarifs : 14 euros plein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
Avec : Solenne Keravis, Olivier Boréel et Sébastien
Mise en scène : Christelle Harbonn – Dramaturgie et adaptations : Laurence Gervais
Création sonore : Sébastien Rouiller – Création lumière : Olivier Schwal
Scénographie : Muriel Valat et Christelle Harbonn
Mise en scène : Christelle Harbonn – Dramaturgie et adaptations : Laurence Gervais
Création sonore : Sébastien Rouiller – Création lumière : Olivier Schwal
Scénographie : Muriel Valat et Christelle Harbonn
« Nous travaillons sur deux romans américains The Yellow Wallpaper de Charlotte Perkins-Gilman et Dangling Man de Saul Bellow. Ces textes sont deux journaux intimes écrits respectivement par une femme au XIXe et par un homme au XXe siècle. Ils sont des échappatoires à une vie qui cloue leurs protagonistes à des lois (psychanalytiques ou sociales) qui les démunissent. Ce sont leurs forces de résistance.
Ces textes forment ici un diptyque que nous appelons des Tentatives de trous pour voir le ciel à travers. »
Ces textes forment ici un diptyque que nous appelons des Tentatives de trous pour voir le ciel à travers. »
– Compagnie Demesten Titip
COMME UN ZEPPELIN EN FLAMMES DANS SON VOL DE RETOUR
15 mai à 19h / 16 mai à 19h / 17 mai à 19h
Tarifs : 14 euros plein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
Textes : Simon Diard – Interprétation : Fanny Bouffort
Création sonore, musicien : Vincent Malassis – Lumières : Fabien Bossard
Collaboration artistique : Clémence Gross – Administration : Alexandre Leguay
Création sonore, musicien : Vincent Malassis – Lumières : Fabien Bossard
Collaboration artistique : Clémence Gross – Administration : Alexandre Leguay
Premier spectacle de la Compagnie Planches-Contacts, Comme un zeppelin en flammes dans son vol de retour explore le spectre entre dramatique et performance, théâtre et concert.
Sur scène, la comédienne et le musicien créent des passages, une circulation entre le temps du plateau et le temps de la fiction dans une scénographie où micros, enceintes, sources de lumière, consoles et machines sont aussi les instruments de la représentation.
Sur scène, la comédienne et le musicien créent des passages, une circulation entre le temps du plateau et le temps de la fiction dans une scénographie où micros, enceintes, sources de lumière, consoles et machines sont aussi les instruments de la représentation.
KALLDEWEY, d’après Kalldewey, Farce de Boltho Strauss
15 mai à 21h / 16 mai à 21h / 17 mai à 21h / 22 mai à 21h / 23 mai à 21h
Tarifs : 14 euros plein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
Plateau nu, micros sur perches, guitare électriques, batterie, amplificateurs… Les personnages de « Kalldewey, farce », placés sous la tension électrique d’une salle de concert, nous conduirons dans une déambulation à travers le Berlin des années 80. Il y est question d’amour, de violence et de pouvoir. Là on danse. Les crimes de la seconde guerre mondiale se sont immiscés au plus intime de nos rapports humains.
Les images projetées éclairent l’état panique des corps. La musique jouée en direct scande la marche, sur son tempo notre quête d’amour se transforme en festin cannibalique.
Les images projetées éclairent l’état panique des corps. La musique jouée en direct scande la marche, sur son tempo notre quête d’amour se transforme en festin cannibalique.
KALLDEWEY s’offre une déambulation dans Paris et devient projet itinérant. Chaque partie du spectacle sera représentée dans différents lieux à travers la capitale :
L’Art au Garage
19 mai à 19h
23 rue des Lilas, Paris 19
Point Éphémère
2 avril, 7 et 21 mai, 25 juin à 20h30
200 quai de Valmy, Paris 10
Le spectacle s’est également joué à l’Atelier du Plateau les 11, 13 et 14 avril à 20h.
