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Infos Paris.

 L’A1 sera fermée entre 21h et 6h du matin, en direction de Paris entre Roissy-en-France et la Porte de la Chapelle au niveau du boulevard périphérique. L’A12 sera fermée en direction de Paris entre Montigny-le-Bretonneux et Bailly aux mêmes heures.

La 1ère latino art fair à la Maison de l’Amérique latine 🇦🇷

C’est la 1ère édition de la foire intitulée MIRA, latino art fair, consacrée à la scène artistique d’ Amérique du Sud s’ouvre aujourd’hui. Elle se déroule à la maison de l’Amérique latine, dans le 7e arrondissement, et dure 5 jours.

 

  • Le terme espagnol Mira a deux significations :  intention, objet ou but”  et  “diriger le regard vers un objet”.
  • MIRA est une foire d’art contemporain visant à attirer l’attention sur des œuvres inédites et des artistes méconnus. L’idée est de mieux les faire connaître au public européen.
  • 24 galeries issues de plusieurs pays, de Cuba, du Mexique ou d’Argentine ont accroché leurs toiles aux cimaises de la maison de l’Amérique latine.
  • A noter la participation de la galerie Galleria Continua représentée à San Gimignano, à Pékin, à La Havane, à Rome, à São Paulo, à Dubaï.
  • Les expositions sont accessibles dès 13h et sur réservation. Les pass VIP et l’accès à la 1ère journée sont payants.
  • Les jours suivants, plusieurs conférences et tables rondes sont programmées à l’auditorium. Toutes sont gratuites.
  • En point d’orgue, dimanche, la performance en direct de Pablo Rodriguez Blanco qui réalisera une œuvre, El malabarista, en 20 min, dans le jardin de la maison de l’Amérique latine.

 

  • L’objectif de cette 1ère édition est de faire émerger un dialogue entre les artistes, les collectionneurs et les institutions culturelles des paysconcernés et que ceux-ci apprennent à se connaître.
  • La Maison de l’Amérique a vocation à mettre en lumière la culture latino-américaine, où performances et conférences reflètent la vivacité de l’esprit créatif en Amérique latine.
  • Le choix s’est porté sur un programme engagé, MIRA est une plateforme incontournable d’échange et de réflexion sur l’art latino à Paris.
  • MIRA Art Fair a fait de la nécessité d’être des acteurs clés de la transition écologique, l’une de ses priorités. Cette foire place la durabilité au cœur de sa proposition au public en nouant des partenariats avec des projets liés à la biodiversité, en utilisant des matériaux recyclés et en essayant d’avoir un minimum de déchets.

L’ouverture du Baronne, dernier-né du groupe Paris Society 🍽️

L’arrivée de Baronne, nouvel opus de la partition culinaire de Paris Society, est un des événements de la rentrée. Cette table chic du Triangle d’Or s’installe dans un hôtel particulier du XIXe siècle.

  • Laurent de Gourcuff, aux commandes de Paris Society depuis 2008 ouvre une nouvelle adresse dédiée à la gastronomie raffinée au cœur du Triangle d’or.
  • Le groupe continue sur sa lancée, initiée avec la seconde vie donnée aux fleurons de la gastronomie française, Le Maxim’s et Laurent.
  • Le groupe qui comprend 65 établissements dont l’Apicius ou l’abbaye des Vaux de Cernay s’est rapidement imposé comme une figure de la restauration et de l’événementiel haut de gamme à Paris.
  • Cette fois, les gastronomes sont conviés à découvrir un restaurant conçu au sein de l’Hôtel Salomon de Rothschild, au 11, rue Berryer dans le 8e.
  • S’il pouvait parler, ce lieu raconterait une histoire : “Après la mort prématurée de Salomon, Adèle fait construire un somptueux hôtel particulier à Paris, en hommage à son mari.”
  • Un très beau jardin sert d’écrin à ce bel édifice néo-clasique. L’ambiance est y sophistiquée et le mobilier design tranche avec les fresques, les boiseries et les cheminées en marbre.
  • charme historique et design contemporain
  • Son nom a été choisi en hommage à la baronne Adèle de Rothschild, collectionneuse d’art et philanthrope.

 

  • La décoration de Baronne porte la griffe de Corinne Sachot, laquelle a assis sa notoriété avec le relooking du restaurant Coco.
  • Le Baronne, ce n’est pas moins de 400 places assises, réparties équitablement entre l’intérieur et le jardin d’une superficie 4000 m².
  • Baronne peut s’enorgueillir d’être le plus grand restaurant du groupe Paris Society, en superficie s’entend.
  • Côté cuisine, Baronne propose une carte spécialisée dans les grillades (poissons, viandes, brochettes), sa signature.

Les Journées du Patrimoine en région parisienne avec Veolia

📝 Comme on dit chez Veolia, il y a les lieux qui ont fait l’histoire, et ceux qui continuent de l’écrire. C’est la raison pour laquelle l’entreprise de référence de la transformation écologique a choisi, de manière exceptionnelle, à l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, d’ouvrir au public une sélection des sites les plus emblématiques qu’elle exploite pour le compte de ses clients.

♻️ Les 21 et 22 septembre prochains, à l’occasion de la 41e édition de l’événement, près de 100 sites répartis dans toute la France, métropolitaine et ultramarine, vont accueillir les visiteurs désireux de découvrir des infrastructures souvent spectaculaires et des technologies qui le sont tout autant. Production d’eau potable, valorisation des déchets, création d’énergies vertes… Autant de thématiques qui seront mises en valeur lors de ces journées consacrées à la thématique du patrimoine des itinéraires, des réseaux et des connexions et du patrimoine maritime.

🚰 🗑️ En Île-de-France, plusieurs sites gérés par Veolia seront ouverts aux visites le 21 septembre prochain. Franciliens et Parisiens pourront ainsi découvrir, en plus des stations d’épuration de Neuville-sur-Oise, Claye-Souilly, Lardy, Boissettes et Senlis, son Pôle d’Écologie industriel Val’Pôle à Bouqueval, l’agence d’assainissement d’Ecquevilly, ainsi que l’usine de production d’eau potable de Buchelay.

🌐 Pour vous inscrire et pour découvrir l’ensemble des sites ouverts au public, c’est ici.

Le musée Guimet lève le voile sur l’Or des Ming 🔱

L’Or des Ming s’ouvre aujourd’hui au musée Guimet. Cette exposition consacrée à la grande époque de l’orfèvrerie chinoise est visible jusqu’au 13 janvier 2025.

 

  • Une brève présentation des Ming s’impose. Au 14e siècle, la dynastie des Ming fait émerger une nouvelle société. Urbaine et marchande. L’heure est aussi au foisonnement intellectuel et littéraire.
  • Début du 14e siècle, la dynastie des Yuan affronte la rébellion d’une partie de la noblesse mongole et l’hostilité des populations chinoises.
  • Dans un contexte insurrectionnel, Zhu Yuanzhang (1328-1398), issu d’une modeste famille chinoise, fonde la dynastie des Ming en 1368, à Nanjing.
  • Sous les Ming (jusqu’en 1644), l’orfèvrerie atteint un niveau de luxe et de délicatesse inégalé. Ce raffinement sans égal dans l’art du bijou d’esthétique baroque, est le témoignage du faste de cette dynastie.
  • Il nous reste de cette époque deux monuments exceptionnels : la Cité Interditeet la grande muraille de Chine.
  • On explique cet âge d’or à l’enrichissement des villes du Sud de la Chine au tournant du 16e siècle avec notamment l’apparition d’une  classe nouvelle : celle de marchands fortunés.
  • Depuis le début de l’année, le musée Guimet, musée des arts asiatiques, célèbre la Chine en particulier.
  • 2024 est l’année franco-chinoise du tourisme culturel et marque le 60eanniversaire des relations diplomatiques entre ces deux pays.
  • Les objets en or datant des Ming sont particulièrement rares.
  • Cette exposition « L’exposition L’or des Ming Fastes et beautés de la Chine impériale » n’a été possible que grâce aux prêts du musée des Beaux-Arts de Qujiang (X’ian, en Chine).
  • Parures, bijoux et objets décoratifs, gravés, filigranés, incrustés de jade ou de pierres précieuses sont à découvrir.
  • Les parures d’or, de jade ou d’argent étaient les compléments indispensables au vêtement des élites et elle étaient souvent rehaussées de rubis, spinelles, saphirs bleus, jaunes ou verts.
  • Mais au delà de la beauté, cet événement nous permet de comprendre le rôle de l’or sous les Ming (qui y était l’équivalent du jade et de la soie) et ce qu’il dit du statut social d’alors.
  • L’exposition s’adresse aussi au jeune public, avec un parcours guidé pour les 8-12 ans.

La question : Quelle est la rue la plus étroite de Paris? ↔️

La rue la plus étroite de Paris ? Petit indice : elle porte un nom étrange. Second indice : elle a un passé tourmenté… Troisième indice : elle est dans le 5e.  C’est la… rue du Chat-qui-Pêche.

 

  • La rue du Chat-qui-Pêche s’étire sur 29 mètres. On dit qu’elle fait 1m80 mais à certains endroits, elle mesure 1,57m.
  • Obscure par tous les temps, cette voie relie le quai Saint-Michel à la rue de la Huchette.
  • Créée en 1540, c’est la rue la plus étroite de Paris en tant que telle. Au XVIesiècle, elle débouchait  directement sur le lit de la Seine. Le quai Saint-Michel n’a en effet été construit qu’au XIXe siècle.
  • L’autre voie la plus étroite de la ville n’est pas une rue mais d’une allée cimentée : il s’agit du sentier des Merisiers, dans le 12e arrondissement qui ne dépasse pas de 1m de large avec un passage à 87 cm.
  • Cette venelle fut un temps fermée par des grilles au cours de la première moitié du 19e siècle avant d’être à nouveau ouverte à la circulation.
  • La légende voudrait que cette rue recouverte de graffitis depuis quelques années aurait été le théâtre de faits troublants.
  • Mythe (ou réalité), il se raconte qu’un chanoine nommé Dom Perlet vivait jadis dans cette ruelle en compagnie d’un chat noir particulier…D’un coup de patte, il aurait été capable de pêcher les poissons de la Seine.
  • Le chanoine, féru d’alchimie, fut suspecté de sorcellerie par 3 étudiants. Convaincus que l’homme et le chat ne faisaient qu’un, ils décidèrent de tuer le chat et de le jeter dans la Seine.
  • L’alchimiste disparut, semblant les conforter dans leurs convictions. Il refit surface, un peu plus tard, de retour de voyage.
  • Et le chat, dans l’histoire? La légende n’en reste pas là : On le vit de nouveau pêcher dans le fleuve quelque temps après son…décès.
  • Si la légende est belle, d’autre plus prosaïques racontent que cette voie tirerait son nom de la présence d’une enseigne représentant un chat noir en train d’attraper un poisson. À l’époque où les rues n’avaient pas de nom, les passants se repéraient aux enseignes.
  • La rue du Chat-qui-Pêche a servi d’unité de lieu au livre éponyme, écrit par Jolán Földes. Une auteure hongroise ayant habité cette rue dans les années 1930.

Revue de presse 🗞

 

Les fouilles archéologiques conduites à Notre-Dame ont permis de découvrir une sépulture qui pourrait être celle du poète Joachim du Bellay, dont on sait qu’il a été inhumé dans la cathédrale sans connaître l’emplacement exact, raconte francetvinfo. C’est la découverte la plus spectaculaire des fouilles archéologiques réalisées sous la cathédrale depuis 2022.

Les cérémonies des Jeux olympiques et les compétitions terminées, l’heure est désormais au démontage des structures et au ménage. Cela prendra 8 semaines. Dans les gradins, les ouvriers ont commencé à retirer les sièges. Le stade du Champ-de-Mars, l’un des emblèmes des JO de Paris 2024, a des allures de chantier, comme on peut le lire sur le site d’actualités 20minutes.fr.

Source L’Essentiel

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