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269 PAGES DE TNT ! CLIMAT : 15 VÉRITÉS QUI DÉRANGENT

« Ce livre sera abondamment critiqué par des personnes qui ne l’auront pas lu ». Tel est le propos des auteurs de « Climat : 15 vérités qui dérangent » en conclusion de leur ouvrage. Et force est d’admettre, notre époque rampante aidant, que cette crainte ait davantage de probabilités de se réaliser que l’une des prophéties catastrophistes du Groupe intergouvernemental d’étude du climat (GIEC).

Nous avons lu ce livre. Sans œillère, sans formatage. Son contenu est tout bonnement explosif…

Qu’est-ce que le GIEC ? Ou plutôt, qu’est-ce qu’il n’est pas… Contrairement à ses prétentions, le GIEC n’est pas une organisation scientifique. Il s’agit très clairement d’un organisme politique. Entretenant à dessein une confusion des registres entre science et politique, clamant sa « neutralité » à qui veut le croire, il œuvre sans relâche pour l’adoption de mesures politiques idéologiquement orientées. Avec le GIEC, le débat (si on peut encore parler de « débat » avec des adeptes qui refusent tout débat scientifique argumenté) n’est pas que technique, il est d’abord et avant tout moral et politique. Un élément primordial de la nature profonde du GIEC est d’ailleurs énoncé dans son quatrième rapport où, sur des dizaines de pages, est traitée l’évolution de la gouvernance au niveau mondial… Vous ne voyez pas le rapport avec le climat ? C’est que vous devez être un suppôt du « climato-scepticisme »…

Il faut rappeler qu’aucun climatosceptique ne conteste l’existence du changement climatique : le climat change depuis les temps immémoriaux et continue de changer. Ce qui est contesté, c’est l’impact prédominant de l’activité humaine sur ce changement, alors même que le GIEC ne tient pas compte, sinon à la marge, d’autres facteurs majeurs tels le soleil, les volcans, les courants océaniques, les phénomènes tectoniques ou les nuages. Or l’augmentation du CO2 liée à l’activité anthropique n’est pas démontrée et est uniquement basée sur la corrélation entre l’utilisation des combustibles fossiles, l’augmentation de la teneur atmosphérique en CO2 et la dérive temporelle isotopique du carbone. Problème de cette belle démonstration : les deux courbes ne sont parallèles que durant 25 ans (1972 à 1990) et divergent tant avant qu’après cette période… En outre, une teneur élevée en CO2 n’implique pas nécessairement un phénomène de réchauffement – on peut même envisager le phénomène opposé. Enfin, l’élévation de la température moyenne du demi-siècle passé n’est pas atypique par rapport aux 1300 dernières années ; on note très clairement une période de stagnation des températures depuis 1998…

Il n’y a donc pas de tendance générale au réchauffement climatique qui pourrait incriminer les émissions de CO2 provenant des combustibles fossiles. Aucune tendance générale au réchauffement n’est d’ailleurs observée dans l’évolution de la température locale en divers points du globe.

Les auteurs vont même plus loin en démontrant que c’est la variation de température qui induit celle de CO2 et pas l’inverse ! Dans aucun cas, on n’a pu constater que la hausse du CO2 précédait la hausse de la température. L’augmentation de CO2  est ainsi plus que probablement liée au dégazage des océans et aux variations de la biosphère suite à une augmentation de température.

En définitive, les simulations reprises dans les rapports du GIEC ne sont pas validées par les observations. Situation un peu ennuyeuse pour des gens se targuant de détenir la vérité, non ?

Quant aux médias, dans ce domaine comme dans bien d’autres, ils sont en dessous du niveau des océans. Il y a 36 ans, la presse faisait pourtant état de la thèse diamétralement opposée : la Terre se refroidit, martelaient-ils…

En dépit du… climat détestable instauré par les grands prêtres du GIEC, climat relayé par des médias pour le moins complaisants, il convient de saluer le courage et la rigueur scientifique des auteurs de cet ouvrage indispensable. Non, mister Al Gore, la liberté de pensée, la liberté d’expression, la liberté académique ne doivent pas être « réduites au silence » pour « ceux qui s’opposent aux avis du GIEC » !

Puisse ce livre contribuer à faire triompher la vérité scientifique.

Arnaud Robert.  

Climat, 15 vérités qui dérangent – (collectif de huit scientifiques sous la direction du Pr. Istvan E. Marko).
274 pages
Disponible sur Amazon.fr pour 23.75€

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