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Un nouvel acteur sur le secteur en pleine explosion de l’auto-édition……

 Les éditions du Net  lancent un  site d’autoédition

Secteur en pleine explosion, dépassant même le circuit éditorial traditionnel, Outre-Atlantique, l’autoédition est en train de connaître le même essor en France.

 

L’autoédition est une réponse à l’envie de postérité de chacun.
“ Henri Mojon, fondateur des Éditions du Net »

UN SERVICE PROFESSIONNEL
Créée en 2010, Les Editions du Net est une entreprise d’édition d’un type nouveau qui utilise l’internet et les nouvelles technologies d’impression pour permettre l’édition et la réédition de livres de multiples collections, à l’unité, en se libérant de la contrainte du « tirage minimum » autrefois nécessaire.
Depuis 2 ans, de nombreux éditeurs nous ont fait confiance, c’est le même service professionnel qui est proposé aujourd’hui sur leseditionsdunet.com.
UNE VRAIE DIFFUSION
Les Editions du Net diffusent les livres publiés sur leur site internet auprès de tous les réseaux de distribution de livres, aussi bien sur internet (amazon.fr, fnac.com, chapitre.com) que dans les librairies (via Dilicom).
Chaque auteur peut facilement le vérifier en tapant son nom ou le titre de son livre sur Google, ou en faisant une demande auprès de n’importe quel libraire.
UN SERVICE SIMPLE ET GRATUIT
Créé en janvier 2012, le site leseditionsdunet.com propose de publier un livre gratuitement.
Avec plus de 300 livres publiés, le site leseditionsdunet.com est un service pratique et simple pour toute personne qui souhaite publier un ouvrage.
C’est aussi un site de vente de livre en ligne destiné aussi bien aux lecteurs qu’aux libraires.

UN SERVICE OUVERT À TOUS
Les publications sont très éclectiques : de vieux manuscrits de soldats de la guerre 14/18, des
autobiographies, des recueils de poésie, des essais politiques, des travaux de recherche, des mangas,
des contes pour enfants, des histoires fantastiques pour adolescents, etc.
Les 5 meilleures ventes sont une parfaite démonstration de la diversité des auteurs et de leurs motivations :
1. L’histoire du Cross Country en Eure et Loir de Bernard Germond, âgé de 58 ans, retraité de la SNCF,
passionné de Cross Country
2. Sorties de Violence de Christian Alexandre, prêtre et docteur en philosophie, ayant déjà édité
plusieurs livres
3. Goulag Land de Lily Avery, ancienne Directrice Générale d’une mairie dirigée par le Parti communiste
qui raconte avec beaucoup d’humour ce qui lui est arrivé
4. Alzheimer – Aidant le combat d’André Perrochet, un témoignage poignant écrit au jour le jour
5. Papy Boum de Ramdane Issaad, roman noir d’un écrivain ayant été publié par les plus grandes
maisons d’édition : Le Seuil, Flammarion, Denoël
L’AUTOÉDITION, L’ÉDITION DE DEMAIN ?
Un marché en pleine explosion aux Etats-Unis…
Avec plus de 181% d’augmentation entre 2008 et 2009*, le nombre de titres autoédités a véritablement
explosé. Ce phénomène, dû en partie à l’émergence des e-books qui favorisent un nouveau rapport à
la lecture et à l’écriture, prend une véritable ampleur en 2009 avec plus de 764 000 ouvrages autopubliés
contre seulement 51 237 en 2006**. En 2011, le secteur de l’autoédition commence même à
distancer l’édition traditionnelle avec 2,65 fois plus de titres publiés.
Et en France ?
Si l’autoédition est encore difficilement quantifiable – la plupart des ouvrages ne passant pas par le dépôt
légal – une véritable demande existe. En 2009, ce sont près de 6% de la population qui avouent avoir
envie de publier un manuscrit***.

* Source : Les-agents-litteraires.fr – 24 mars 2011
** D’après une étude réalisée par R.R. Bowker, qui compile les
statistiques du marché de l’édition.
*** Sondage IFOP réalisé pour Le Figaro Littéraire en 2009
(autre source : Wall Street Journal – octobre 2011).

www.leseditionsdunet.com,

Auto-édition  source wikipédia:

L’auto-édition ou autoédition consiste pour un auteur à prendre lui-même en charge l’édition de ses ouvrages, sans passer par l’intermédiaire d’une maison d’édition.

Elle se distingue précisément de l’édition à compte d’éditeur ou à compte d’auteur. Dans le premier cas, en effet, l’éditeur se charge à ses frais de réaliser et diffuser l’ouvrage en rémunérant l’auteur selon les ventes, et dans le second l’éditeur s’en charge aux frais de l’auteur.

L’auto-édition, d’ailleurs souvent confondue avec l’édition à compte d’auteur, a une image souvent négative ou véhicule une idée d’amateurisme et de petits moyens, ce qui correspond à une certaine réalité, mais elle peut aussi être une option choisie et être une activité professionnelle à part entière, soit que l’auteur ait lui-même toutes les compétences requises, soit qu’il s’adresse, au même titre qu’un éditeur « officiel », à des professionnels pour chaque secteur de son activité. L’auto-éditeur est un éditeur comme les autres, avec la différence qu’il propose un « catalogue » forcément limité à sa production personnelle, et qu’il doit connaître les spécificités de « son » marché.

Étapes de la publication

L’auto-éditeur se doit donc de connaître toutes les étapes de la publication du livre :

  • la saisie et mise en page : un simple traitement de texte peut suffire. Pour une mise en page avec des illustrations, des logiciels plus élaborés permettent un résultat plus dynamique.
  • les corrections : orthographe, grammaire, style, règles typographiques… peuvent se révéler être des contraintes difficiles à respecter pour l’auto-éditeur. C’est pourquoi le recours à des tiers est important : soit des professionnels de la correction, soit d’autres bonnes volontés compétentes disposées à ce travail.
  • l’impression : elle peut être éventuellement réalisée avec une imprimante personnelle pour un petit projet ; la reliure est toutefois un point délicat, car le résultat n’est pas toujours satisfaisant (reliure type spirale). Toutefois, l’impression est le plus souvent confiée à un professionnel. Le recours à un imprimeur est préférable dès que le nombre d’exemplaires devient important. Au niveau technique, pour un tirage en deçà de 500 exemplaires, on préférera la photocopie numérique qui fournit aujourd’hui des résultats de bonne qualité. Au-delà, il devient économiquement intéressant d’utiliser la technologie offset. La reliure proposée par un imprimeur est en général plus satisfaisante.
  • les formalités administratives et juridiques : elles sont très limitées. En deçà de 100 exemplaires le dépôt légal n’est pas obligatoire[réf. nécessaire] ; s’il l’est, il se limite à l’envoi d’exemplaires après avoir rempli un formulaire simple. Le dépôt légal permet notamment d’instaurer la présomption que l’on est bien l’auteur de l’ouvrage. Faute de dépôt légal, on peut si on le souhaite, protéger le droit d’auteur par un dépôt en ligne. Il est possible également, sans que cela soit obligatoire, d’obtenir un ISBN qui lui reste impératif pour l’obtention du dépôt légal[réf. nécessaire].
  • La publicité : beaucoup de moyens existent, mais l’auto-éditeur, ayant en général peu de moyens à y consacrer, a tout intérêt à cibler très précisément les personnes potentiellement intéressées.
  • la diffusion : c’est la phase sans doute la plus délicate de l’auto-édition. Il existe différents moyens : choix d’un organisme de diffusion (avec les contraintes que cela implique), contacts directs avec des libraires acceptant l’ouvrage, vente directe suite à des manifestations publiques, site internet personnel avec vente par correspondance, recours à des sites commerciaux de vente sur internet…

La question de la fixation du prix se pose à l’auto-éditeur. On peut rappeler, à titre indicatif, qu’en moyenne dans le milieu classique de l’édition, 55% du prix d’un livre permet de rémunérer sa diffusion, 20% l’impression, 18% l’éditeur, et le reste, aux alentours de 7%, correspond aux droits d’auteur1. L’auto-éditeur, en fonction de ses choix, a des coûts de diffusion et d’édition plus limités, mais par contre des coûts d’impression souvent plus élevés (petit nombre d’exemplaires). Il demeure qu’il peut fixer en général un prix inférieur aux prix du marché.

En France, l’obtention du taux réduit de la TVA, 7% depuis avril 2012, nécessite de remplir des conditions allégées, détaillées dans l’instruction du 12 mai 2005 modifiant la nouvelle définition fiscale du livre2 indiquant : – Un livre est un ensemble imprimé, illustré ou non, publié sous un titre, ayant pour objet la reproduction d’une œuvre de l’esprit d’un ou plusieurs auteurs en vue de l’enseignement, de la diffusion de la pensée et de la culture.

L’auto-édition permet de diffuser des textes qui entrent difficilement dans le cadre normal du milieu de l’édition. C’est un moyen adapté à des projets de taille modeste dans des domaines très spécialisés (histoire régionale, domaine technique…) : ainsi, une auto-édition dans la domaine de la littérature générale paraît une véritable gageure. A contrario, certains auteurs ayant réussi dans le domaine de l’édition traditionnelle peuvent choisir de devenir leur propre éditeur, avec les mêmes moyens et méthodes qu’un éditeur traditionnel : le cas est relativement fréquent dans la bande dessinée, par exemple les éditions Albert René, créées par Albert Uderzo en 1979 pour éditer ses Astérix, la dessinatrice Claire Bretecher qui auto-édite ses albums, Jo-El Azara qui s’auto-édite sous le label Azeko, Benoit Jacques avec Benoit Jacques Books, etc. On peut citer dernièrement dans la littérature Marc-Édouard Nabe.

 

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