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Patrick Gofman, auteur de Bats ta femme tous les jours:un pamphlet blagueur contre les aberrations féministes

Entretien avec Patrick Gofman, auteur de Bats ta femme tous les jours (Éditions Dualpha, préface de Serge de Beketch, postface d’Anne Brassié, 114 pages, 17 euros)

 

« Les gros médias moulinent toujours plus d’aberrations féministes ;“Me too” (moi aussi) est devenu religion de masse :
qui n’a pas son viol, perpétré 30 ou 40 ans auparavant par un monstre invariablement riche, puissant, célèbre ?
On apprend ainsi tous les jours que richesse et puissance
engendrent une telle frustration sexuelle qu’il faudrait recourir à la force pour l’assouvir !
Franchement, l’auteur a du mal à le croire…
Tout comme les juges, femmes en majorité, qui n’hésitent plus à rendre un non-lieu devant des accusations absurdes et invérifiables…
Et c’est ici l’articulation du changement c
ar, oui,“tout a changé”, notamment avec les affaires Solveig Halloin et Amber Heard : on ne peut pas dire tout et n’importe quoi ! »

Une quatrième édition aux éditions Dualpha, c’est un best-seller, votre livre, dites-moi…

Ne rêvons pas ! Ce ne sera « que » quelques milliers d’exemplaires à quinze ans de modestes succès…

Et personne, pas une suffragette, pour vous mettre des bâtons dans les roues ?

Pas folles, les guêpes ! Elles ont compris que nous n’attendions que leur pub gratuite pour atteindre gloire et fortune ! Je n’ai remarqué qu’une seule mal-comprenante, qui m’accuse – moi le patriote inflexible – d’être l’avocat de l’assassin gauchiste Cantat (qu’elle appelle « Quentin ») ! C’est d’un comique navrant…

Tout de même, votre titre est-il parfaitement approprié ?

C’est un proverbe ! « Bats ta femme tous les jours, si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait ». La sagesse des nations n’est pas encore censurée !

Mais enfin, si les groupuscules féministes vous ignorent noblement, que disent les dames normales de votre délire machiste ?

Je viens encore de le vérifier au Salon du livre russe (2, 3, 4 décembre 2022) : certaines rient, d’autres sourient. Une minuscule minorité fait la tête… Beaucoup achètent. Elles ont compris que mon pamphlet blagueur est l’étude sociologique, sentimentale et antiféministe d’un vieux garçon qui les a adorées toute sa vie… comme tous les hommes normaux, ce qui n’inclut pas une poignée de criminels montés en épingle par les cliques féministes et les médias corrompus.

Un dernier mot pour votre défense ?

Après la condamnation des grandes menteuses Amber Heard et Solveig Halloin, voici encore un viol imaginaire : celui de « La Petite Menteuse ». Mais c’est un roman, signé d’une… journaliste… du Monde !

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