« Ma Bonne Etoile », un film sur le cheval avec Christophe Lambert
En salles le 11 juillet, « Ma Bonne étoile », drame familial d’Anne Fassio, possède tous les ingrédients d’un conte de fée moderne avec pour toile de fond le monde du cheval et en particulier celui du turf. Pour son retour à l’écran, Christophe Lambert , la star de « Greystoke » et « Highlander », y joue un père, veuf et propriétaire de haras, filmé avec pudeur.
Louise coule des jours heureux au haras normand de la Ferronnière lorsque sa mère meurt, la laissant seule avec son père Pierre (Christophe Lambert ), un « grand-père de coeur » Robert (Claude Brasseur) et une pouliche, Marquise. Alors que le trio peine à faire vivre le haras, Louise reporte son amour sur la belle pouliche alezane qu’elle dresse avec tendresse afin d’en faire un trotteur de course.
Séances de travail à la longe dans le manège, longues promenades filmées dans des paysages grandioses face aux falaises près de Dieppe et les bains de mer en liberté à Deauville rythment les journées des deux inséparables.
Le jour de ses 18 ans, Louise annonce à Pierre et Robert qu’elle quitte l’école pour le métier des courses. Elle croit en sa bonne étoile et en celle de sa protégée. Avec les gains de Marquise, elle compte payer les dettes du haras et le faire revivre…
Pour ce film, Fleur Lise, qui incarne Louise et partage sa vie entre les chevaux et le cinéma, a relevé un vrai défi : monter en course sans jamais être doublée.
« Ma Bonne Etoile », la bande-annonce
[youtube id= »umFVJfj5rTk » width= »600″ height= »350″]Christophe Lambert « en connexion depuis tout petit » avec les chevaux
« Pour moi, ce qui est intéressant au cinéma, quelle que soit la simplicité de l’histoire, ce sont les émotions qu’elle procure. Et ce film est un condensé d’émotions qui donne le sentiment que dans la vie, il ne faut jamais baisser les bras », analyse Christophe Lambert, amoureux des chevaux depuis l’enfance.
« J’ai commencé à monter à cheval à 7 ans. J’ai donc été en connexion avec eux tout petit. J’ai appris à tomber, à remonter, à avoir peur puis à vaincre mes peurs. A avancer. J’ai fait beaucoup de cheval dans mes films et les chevaux de cinéma sont extraordinaires. J’ai adoré me retrouver dans l’univers des courses, les trotteurs sont de vraies Formule 1. »
Quant au milieu des courses hippiques, il estime que « c’est un milieu très dur, surtout pour les femmes, comme dans a Formule 1. » Mais c’est aussi « un milieu où l’on respecte l’animal et les gens. Il y a un respect mutuel entre le propriétaire, le jockey, l’entraîneur et bien évidemmen avec l’animal. Ce que l’on retrouve dans le film, c’est qu’il n’y a pas de mauvais cheval mais des mauvais professionnels. Si un cheval ne tombe pas sur le bon, il ne pourra jamais émerger ».
source:culturebox