Paris, 1906. Gabrielle, jolie jeune fille issue d’une famille de mécènes et d’industriels, se rend à une séance de pose chez Anatole, un sculpteur prisé de l’intelligentsia. Par son intermédiaire, elle fait bientôt la connaissance d’Édouard Frissent, sculpteur lui aussi. C’est le coup de foudre. Et si leurs rendez-vous sont épisodiques, ils n’en sont que plus passionnés !
De Montmartre à l’Île Saint-Louis où il vit en bohême, l’artiste de génie refuse de se plier aux diktats de l’Académie des Beaux-Arts.
Un jour, contre toute attente, il s’éloigne de Gabrielle. Comment expliquer ce silence si soudain, si violent ? La jeune femme est loin de se douter que ses pérégrinations sentimentales, entre faux espoirs et déconvenues, ne font que commencer…
La jeune fille meurtrie se métamorphosera en une femme affirmée, au courage exceptionnel.
Roman d’un siècle naissant –le XXe – ce roman évoque les événements qui marquèrent l’époque, dans le domaine des arts, des lettres et des sciences, notamment les dirigeables et les premiers vols des plus lourds que l’air.
Christine Marquet de Vasselot Plaise au Ciel //C’était la Belle Époque
Éditions L’Archipel //160 pages – 17 €
26 mai : Salon des Femmes de Lettres au Cercle des Armées 8 Place Saint-Augustin, 75008 Paris– de 19h à 21h
28 mai : Librairie La Nouvelle Réserve 5 Rue du Maréchal Foch, 78520 Limay
– de 15h à 18h
Christine Marquet de Vasselot a grandi dans une famille de passionnés, tant d’aéronautique que de politique et d’arts. S’initiant progressivement à la sculpture, et fréquentant les milieux artistiques parisiens, elle ouvre, en 1990, une galerie 18 rue Charlot, à Paris. À partir de 1996, elle revient au silence de l’atelier, mais retrouve aussi celui de l’écriture – passion qui ne l’a jamais quittée. Depuis 2004, elle s’y consacre exclusivement. Avec Plaise au ciel, elle signe son premier roman.
