À la suite de l’entrée au Panthéon de Joséphine Baker le 30 novembre 2021 sur décision de M. Emmanuel Macron, Président de la République, le Centre des monuments nationaux présente une exposition de photographies grand format, produite et conçue par le Département Développement de Paris Match sur les grilles du Panthéon.
Joséphine Baker, entre courage et combats Joséphine Baker est la cinquième femme à être honorée au Panthéon. Personnalité charismatique aux multiples talents, artiste internationale, militante humaniste, activiste politique, grande amoureuse de la France : elle est l’héroïne Match par excellence. Elle apparaît d’ailleurs dans les toutes premières pages de l’histoire du magazine, en avril 1949, dès le deuxième numéro. Et l’hebdomadaire relaiera, à travers de très nombreux reportages, en mots et en images, tout au long de sa carrière jusqu’en 1975 le parcours de cette femme exceptionnelle : une femme libre, flamboyante, engagée, universelle.
Paris Match conçoit et produit des événements culturels inédits. La grande exposition photo « Joséphine Baker, libre et engagée » sur les grilles du Panthéon revient sur la vie extraordinaire de Joséphine Baker, alliant archives photographiques issues du fonds photo de Paris Match et textes rédigés par Catherine Schwaab et Frédérique Féron, deux journalistes de Paris Match (textes traduits en anglais).
En collaboration avec le Centre des monuments nationaux, Marc Brincourt, commissaire d’exposition et ancien rédacteur en chef Photo de Paris Match, et Michel Maïquez, ancien directeur artistique de Paris Match, ont créé une promenade photographique sur-mesure, en plein air, accessible au plus grand nombre : 25 panneaux grand format (130 x 180 cm) déployés sur les grilles du Panthéon.
Joséphine Baker, entre courage et combats Joséphine Baker est la cinquième femme à être honorée au Panthéon. Personnalité charismatique aux multiples talents, artiste internationale, militante humaniste, activiste politique, grande amoureuse de la France : elle est l’héroïne Match par excellence. Elle apparaît d’ailleurs dans les toutes premières pages de l’histoire du magazine, en avril 1949, dès le deuxième numéro. Et l’hebdomadaire relaiera, à travers de très nombreux reportages, en mots et en images, tout au long de sa carrière jusqu’en 1975 le parcours de cette femme exceptionnelle : une femme libre, flamboyante, engagée, universelle.
Paris Match conçoit et produit des événements culturels inédits. La grande exposition photo « Joséphine Baker, libre et engagée » sur les grilles du Panthéon revient sur la vie extraordinaire de Joséphine Baker, alliant archives photographiques issues du fonds photo de Paris Match et textes rédigés par Catherine Schwaab et Frédérique Féron, deux journalistes de Paris Match (textes traduits en anglais).
En collaboration avec le Centre des monuments nationaux, Marc Brincourt, commissaire d’exposition et ancien rédacteur en chef Photo de Paris Match, et Michel Maïquez, ancien directeur artistique de Paris Match, ont créé une promenade photographique sur-mesure, en plein air, accessible au plus grand nombre : 25 panneaux grand format (130 x 180 cm) déployés sur les grilles du Panthéon.
|
« Comme un prolongement du magazine, les expositions photos Paris Match continuent de raconter à tous les publics l’histoire de nos grands héros nationaux qui marquent l’histoire contemporaine des Français. C’est une grande fierté pour Paris Match d’ouvrir ses archives photos, véritable trésor patrimonial, de partager et d’exposer sur les grilles du Panthéon ces photos parues et non parues de Joséphine Baker qui incarne si bien l’esprit français. »
Gwenaëlle de Kerros
Directrice du Développement de Paris Match
Directrice du Développement de Paris Match
« L’hommage rendu au Panthéon à Joséphine Baker, à l’initiative du Président de la République, a révélé une personnalité riche et attachante. En prolongeant l’émotion suscitée par la cérémonie, l’exposition permettra de mieux connaître la personnalité et l’action de Joséphine Baker en faveur des droits humains. »
Philippe Bélaval
Président du Centre des monuments nationaux
Président du Centre des monuments nationaux
À propos du Département Développement de Paris Match
Le Département Développement de Paris Match conçoit et médiatise des événements et produits culturels réalisés en alliant fonds et expertises du magazine.
Doté d’un fonds exceptionnel de plusieurs millions de photographies et de centaines de milliers d’articles, Paris Match est un témoin privilégié de son temps depuis 1949. Avec le service photo et les journalistes de la rédaction, le département retrouve des « pépites oubliées », pour imaginer et déployer des projets sur-mesure, clés en main, sur toutes les thématiques qui font l’ADN de l’hebdomadaire depuis plus de 70 ans : cinéma, arts & culture, politique, société…
· Raconter l’histoire humaine
· Redécouvrir des œuvres et personnalités culte
· Célébrer une date anniversaire
· Mettre en lumière l’enfant du pays
· Valoriser l’Histoire et le patrimoine français
Doté d’un fonds exceptionnel de plusieurs millions de photographies et de centaines de milliers d’articles, Paris Match est un témoin privilégié de son temps depuis 1949. Avec le service photo et les journalistes de la rédaction, le département retrouve des « pépites oubliées », pour imaginer et déployer des projets sur-mesure, clés en main, sur toutes les thématiques qui font l’ADN de l’hebdomadaire depuis plus de 70 ans : cinéma, arts & culture, politique, société…
· Raconter l’histoire humaine
· Redécouvrir des œuvres et personnalités culte
· Célébrer une date anniversaire
· Mettre en lumière l’enfant du pays
· Valoriser l’Histoire et le patrimoine français
À propos du Panthéon
Selon la volonté de Louis XV, l’église Sainte-Geneviève est construite au centre de Paris entre 1764 et 1790. Le 4 avril 1791, l’Assemblée constituante décide de la transformer en Panthéon. La crypte y accueillera désormais les sépultures des grands hommes de la nation. Après Voltaire et Rousseau, ce sont les grands serviteurs de l’Etat, proches de Napoléon, qui y seront inhumés au début du XIXe siècle. Depuis 1885, année de la mort de Victor Hugo, y reposent ceux qui ont mérité de la patrie par leur engagement citoyen ou leur défense des valeurs républicaines, tels Victor Schœlcher, Jean Moulin, Marie Curie et Alexandre Dumas.
Construit par l’architecte Soufflot (1713-1780), le monument est une manifestation du style néoclassique, très marqué par l’influence de l’Antiquité (fronton, plan en croix grecque, colonnes corinthiennes). Eminent architecte des Lumières, il propose en effet une ambitieuse synthèse de l’art antique, de l’art gothique et de la Renaissance, qui le relie aux grands architectes du XVIe siècle.
Les toiles marouflées, datant d’une époque où le lieu était redevenu une église (deuxième moitié du XIXe siècle), présentent des figures monarchiques et religieuses de l’histoire de France : sainte Geneviève, Clovis, Charlemagne, saint Louis, Jeanne d’Arc. Elles sont l’œuvre de douze peintres de formation principalement académique, presque tous habitués des commandes officielles, notamment Pierre Puvis de Chavannes, Jean-Paul Laurens, Léon Bonnat, Jules Lenepveu.
Au fond du chœur, La Convention nationale sculptée par François Sicard présente Marianne entourée de soldats de la Ière République et de députés révolutionnaires.
A l’occasion de l’entrée au Panthéon de Maurice Genevoix le 11 novembre 2020, une commande publique a été passée à Anselm Kiefer d’un ensemble d’œuvres plastiques et à Pascal Dusapin d’une œuvre musicale. Six groupes monumentaux d’Anselm Kiefer composés de matériaux divers (ciment, fil de fer barbelé, cuivre, plomb, corde, bois, caoutchouc…) évoquent des scènes de la Grande Guerre : « Qu’est-ce que nous sommes ? », « Celles de 14, ceux de 14 », « La voie sacrée », « Émanation », « Pavot et mémoire », « Bataillon ». Cinq de ces tableaux portent des inscriptions issues des livres de l’écrivain Maurice Genevoix et du poète Paul Celan.
« In Nomine Lucis » (« Au nom de la Lumière ») de Pascal Dusapin se déclenche à différents moments de la journée pour quelques minutes, alternant moments musicaux pour chœur a cappella avec des textes issus de l’Ecclésiaste, de Virgile et de inscriptions funéraires de la Rome Antique interprétés par le chœur Accentus sous la direction de Richard Wilberforce et enregistrements de noms de soldats lus par les comédiens Florence Darel et Xavier Gallais. Cette œuvre qui tient compte de l’acoustique particulière de l’édifice, construit un mouvement du son inédit.
A la croisée du transept, le pendule de Foucault démontre la rotation de la terre sur elle-même. Cette expérience scientifique installée par Foucault lui-même en 1851 est constituée d’une sphère métallique de 47 kg suspendue à un fil de 67 mètres.
Le Panthéon est ouvert à la visite, animé et restauré par le Centre des monuments nationaux.
Panthéon – Place du Panthéon 75005 Paris – 01 44 32 18 00 www.paris-pantheon.fr
Construit par l’architecte Soufflot (1713-1780), le monument est une manifestation du style néoclassique, très marqué par l’influence de l’Antiquité (fronton, plan en croix grecque, colonnes corinthiennes). Eminent architecte des Lumières, il propose en effet une ambitieuse synthèse de l’art antique, de l’art gothique et de la Renaissance, qui le relie aux grands architectes du XVIe siècle.
Les toiles marouflées, datant d’une époque où le lieu était redevenu une église (deuxième moitié du XIXe siècle), présentent des figures monarchiques et religieuses de l’histoire de France : sainte Geneviève, Clovis, Charlemagne, saint Louis, Jeanne d’Arc. Elles sont l’œuvre de douze peintres de formation principalement académique, presque tous habitués des commandes officielles, notamment Pierre Puvis de Chavannes, Jean-Paul Laurens, Léon Bonnat, Jules Lenepveu.
Au fond du chœur, La Convention nationale sculptée par François Sicard présente Marianne entourée de soldats de la Ière République et de députés révolutionnaires.
A l’occasion de l’entrée au Panthéon de Maurice Genevoix le 11 novembre 2020, une commande publique a été passée à Anselm Kiefer d’un ensemble d’œuvres plastiques et à Pascal Dusapin d’une œuvre musicale. Six groupes monumentaux d’Anselm Kiefer composés de matériaux divers (ciment, fil de fer barbelé, cuivre, plomb, corde, bois, caoutchouc…) évoquent des scènes de la Grande Guerre : « Qu’est-ce que nous sommes ? », « Celles de 14, ceux de 14 », « La voie sacrée », « Émanation », « Pavot et mémoire », « Bataillon ». Cinq de ces tableaux portent des inscriptions issues des livres de l’écrivain Maurice Genevoix et du poète Paul Celan.
« In Nomine Lucis » (« Au nom de la Lumière ») de Pascal Dusapin se déclenche à différents moments de la journée pour quelques minutes, alternant moments musicaux pour chœur a cappella avec des textes issus de l’Ecclésiaste, de Virgile et de inscriptions funéraires de la Rome Antique interprétés par le chœur Accentus sous la direction de Richard Wilberforce et enregistrements de noms de soldats lus par les comédiens Florence Darel et Xavier Gallais. Cette œuvre qui tient compte de l’acoustique particulière de l’édifice, construit un mouvement du son inédit.
A la croisée du transept, le pendule de Foucault démontre la rotation de la terre sur elle-même. Cette expérience scientifique installée par Foucault lui-même en 1851 est constituée d’une sphère métallique de 47 kg suspendue à un fil de 67 mètres.
Le Panthéon est ouvert à la visite, animé et restauré par le Centre des monuments nationaux.
Panthéon – Place du Panthéon 75005 Paris – 01 44 32 18 00 www.paris-pantheon.fr