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Pâques : une fête religieuse toujours célébrée 

Pâques est la fête la plus importante et la plus anciennement attestée du christianisme. Elle commémore la Résurrection de Jésus, que le Nouveau Testament situe le surlendemain de la Passion, c’est-à-dire le « troisième jour ». La solennité, précédée par la Semaine sainte, dernière partie du carême, commence dans la nuit qui précède le dimanche de Pâques, par la veillée pascale.

Attestée depuis le iie siècle[1],[N 1], Pâques plonge ses racines dans la Pâque juive (Pessa’h), qui commémore la sortie d’Égypte du peuple hébreu. Pour les chrétiens, qui reconnaissent en Jésus le Messie, Pâques commémore sa résurrection trois jours après la Cène (célébrée le Jeudi saint), dernier repas qu’il a pris avec ses disciples le jour de la Pâque juive, la veille de sa Passion, selon le Nouveau Testament.

Dans la théologie chrétienne, la mort et la résurrection de Jésus-Christ, fils de Dieu, rachètentl’homme et le délivrent de l’esclavage du mal et du péché. Le sens de Pâques est la victoire de la vie sur la mort.

La date de Pâques est fixée par le concile de Nicée au premier dimanche après la première pleine lune qui suit le . Les Églises occidentales, qui ont adopté le calendrier grégorien, célèbrent souvent Pâques à une date différente de celle des Églises orthodoxes, qui elles se réfèrent toujours au calendrier julien. Le décalage peut aller jusqu’à cinq semaines selon les années. ( source Wikipédia)

De nombreux édifices religieux vont vibrer au rythme des célébrations de la Semaine sainte et de Pâques ces prochains jours. C’est le cas de l’église Saint-Julien-le-Pauvre (5e), qui comporte plusieurs particularités notables.

  • •À l’origine, Pâques est une fête religieuse, la plus importante de l’année dans le christianisme.
  • •Elle commémore la Résurrection de Jésus, trois jours après le vendredi, jour de sa crucifixion.
  • •Pour les chrétiens, cette date, qui marque la fin de la période de Carême, symbolise le passage de la mort à la vie.
  • •Cette année, événement exceptionnel, la Pâques orthodoxe tombe le même jour que pour les catholiques, le dimanche 20 avril.

  • •Pour l’occasion, on s’intéresse à l’une des plus anciennes églises de Paris, de rite byzantin.
  • •L’église Saint-Julien-le-Pauvre, nichée au coeur du Quartier latin, est un édifice à l’architecture à dominante gothique.
  • •Depuis 1889, elle est rattachée à la communauté grecque-melkite-catholique de Paris.
  • •Sa construction a commencé vers 1160, à la même époque que celle de la cathédrale Notre-Dame, et s’est achevée au début du XIIIe siècle.
  • •Elle est classée au registre des monuments historiques depuis 1846.
  • •Pour terminer les célébrations de la semaine sainte, un office et une liturgie sont prévus dimanche matin, dès 6h, avec une bénédiction des œufs.
  • •Une nouvelle liturgie est proclamée, avec lecture des évangiles, le lendemain, lundi 21 à 11h.

les Parisiens dans les starting-blocks: Chasses aux œufs 

Pour Pâques, Paris se transforme en une immense aire de jeu, et des chasses aux œufs sont organisées partout dans la capitale, dans des parcs emblématiques, des espaces culturels renommés ou des lieux insolites.

  • •Comme chaque année, le Jardin d’acclimatation (16e) accueille une chasse géante dimanche 20 avril, avec des milliers d’œufs dissimulés dans le parc. Billetterie ici, 7 € l’entrée.
  • •Les 20 et 21 avril, le Parc zoologique de Paris (12e) vous ouvre les portes du village imaginaire d’Oeufoville. Les enfants de 2 à 5 ans pourront participer à une chasse, et les plus âgés à un jeu de piste pour dénicher un œuf en chocolat géant. Réservation et tarifs ici.

  • •Pour les férus de finance, Citéco, la Cité de l’Économie (17e), organise une chasse insolite et ludique dans sa salle des coffres les 19 et 20 avril, mêlant énigmes et découvertes. Réservation obligatoire, de 0 à 12 €.
  • •Au Musée de l’Homme (16e), les visiteurs ont rendez-vous avec une chasse… aux os, les 19, 20 et 21 avril. Un code secret sera nécessaire pour ouvrir la mystérieuse malle remplie de chocolats. Billetterie ici, de 5 à 20 €.
  • •Les 20 et 21 avril, le Paradox Museum (9e) propose une chasse aux œufs qui mettra votre esprit à l’épreuve, et le 20 avril, à l’Aquarium de Paris (16e), des poissons en chocolat attendront d’être découverts.

  • •Le Musée de Montmartre (18e) organise une chasse aux œufs sauvage dans ses jardins les 20 et 21 avril. Réservation obligatoire ici, gratuit pour les moins de 12 ans.
  • •Autre possibilité originale et interactive : les enfants devront retrouver 15 lapins cachés dans les vitrines et ruelles de Bercy Village (12e). Chaque participant repartira avec un lapin en chocolat Lindt. Gratuit et sans réservation.

Des créations gourmandes à croquer:

Noir, blanc, au lait, praliné… Pour Pâques, les chocolatiers parisiens rivalisent d’audace pour transformer le cacao en œuvres d’art.

  • •Le traditionnel œuf en chocolat se métamorphose avec Le manège de Louis Fouquet, une version poudrée et scintillante, fourrée d’un praliné amandes et pop-corn chocolaté et caramélisé (190 €).
  • •Depuis 1852, le chocolatier confiseur défend une production artisanaleavec des ingrédients soigneusement sélectionnés. En 2024, il décroche le prix du meilleur praliné du monde.
  • •Sur l’avenue de l’Opéra, Jade Genin, fille de Jacques, aux côtés duquel elle s’est formée, propose Blooma, une suspension chocolatée inspirée des lustres de la Maison Villeroy & Boch. Sous cette structure, onze œufs sont peints à la main et garnis de pralinés (98 €).
  • •Décollage gustatif imminent avec l’œuf Saturne (chocolat noir 70 %) imaginé par Jean-Paul Hévin. Il est garni de fritures sèches et fourrées au chocolat noir et au lait (94 €).

  • •Le coffret des animaux, nouvelle création de Louis Fouquet inspirée du Manège enchanté, contient une poule, un écureuil, une souris (chocolat noir/ praliné pop-corn) et un lapin (25 €).
  • •« Picpus » le hérisson, « Poulbot » la poulette, « Pascalito » le poussin ou encore « Pascaline » la chouette, sont à découvrir chez Jean-Paul Hévin, artisan chocolatier et chef pâtissier depuis 35 ans (à partir de 15 €).

  • •Chez Lenôtre, la traditionnelle cloche se décline en format tablette et en version mini avec la clochette (45 €).
  • •Le maître du trompe-l’œil de la capitale, Cédric Grolet, élabore des chocolats en forme de fruits comme des noisettesamandes ou cacahuètes (45 €).
  • •La créativité de Pierre Hermé met à l’honneur les jeux de dames et d’échecs avec des créations qui s’inspirent des pièces à jouer (25 €).
Source L’essentiel

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