Vous trouverez ci-dessous la programmation à La Loge du 10 au 26 avril.
Une programmation qui veut toujours et encore faire la part belle à la jeune création.
La veillée funèbre des plus caustiques continue avec le spectacle Show Funèbre à 7 voix ; une performance théâtrale portée seule en scène par Ava Hervier (comédienne du collectif Le Club de la vie inimitable et chanteuse du duo musical Ava’s Verden).
La Loge accueille également Quelque chose de commun, première création de Juliette Peytavin et véritable concentré de jeunesse qui réunit près de 15 comédiens sur scène dans une performance chorégraphico-théâtrale.
Découvrez aussi durant cette période En même temps, un spectacle original qui mêle neurologie et théâtre ; une nouvelle performance musique/théâtre du collectif ADM tirée de textes de Louis Aragon et enfin une immersion dans le milieu du travail avec Les Dactylos.
Vous retrouverez bientôt à La Loge le spectacle choral le très rock’n’roll Kalldewey d’après Kalldewey, Farce de Boltho Strauss, une nouvelle série du rendez-vous ILS ÉTAIENT UNE FOIS ou encore une performance de la cie Mesden sur le thème de la photographie spirite avec le spectacle Préface à la venue des esprits.
Show Funèbre à 7 voix
10 Avrilà 19h / 11 Avrilà 19h / 12 Avrilà 19h
Tarifs : 14 euros plein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
Texte et mise en scène : Florian Pautasso
Interprétation : Ava Hervier
Interprétation : Ava Hervier
Lucien est mort, et ceux dont il fut le fils, l’ami ou l’amant sont réunis, sous les marronniers, et son corps est étendu à leurs pieds, près des tables dressées. Chacun son tour s’éprouve au cadavre à sa manière, avec le corps et les mots. Paroles tendres ou féroces, coups, étreintes ! Tout est bon pour questionner ce qu’on ne peut comprendre. Ava Hervier assure en solo cette partition multiforme. Un show ! dont l’ambition n’est toutefois pas de paraître mais de se dévoiler, pour mieux laisser résonner dans le lieu du théâtre ce qui parle en tous les humains.
Quelque chose de commun
10 Avrilà 21h / 11 Avrilà 21h / 12 Avrilà 21h /
17 Avrilà 21h / 18 Avrilà 21h / 19 Avrilà 21h /
20 Avrilà 21h / 21 Avrilà 21h
Tarifs : 14 euros pl
ein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
Mise en scène : Juliette Peytavin
Texte : Les interprètes
Texte : Les interprètes
Quelque Chose de Commun, c’est la rencontre de sept jeunes individus. Ils se côtoient, s’écoutent, s’observent, se confrontent, partagent.
Au delà de leur intimité se trouve l’expérience humaine et c’est de cela qu’il est question. Cette fiction devient une étude comportementale sur les systèmes spontanés qui s’établissent au sein de toute communauté. Les comédiens explorent les retranchements des caractères génériques à travers des identités fortes et stéréotypées. Parlent-ils d’eux ?… de nous, ou de vous ?
http://quelquechosedecommun.free.fr/
Au delà de leur intimité se trouve l’expérience humaine et c’est de cela qu’il est question. Cette fiction devient une étude comportementale sur les systèmes spontanés qui s’établissent au sein de toute communauté. Les comédiens explorent les retranchements des caractères génériques à travers des identités fortes et stéréotypées. Parlent-ils d’eux ?… de nous, ou de vous ?
http://quelquechosedecommun.free.fr/
En même temps
17 Avrilà 19h / 18 Avrilà 19h / 19 Avrilà 19h
Tarifs : 14 euros plein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
Création et interprétation : Jean-Claude Bonnifait et Serge Gaborieau
Jean-Claude Bonnifait et Serge Gaborieau ont choisi de prendre en charge à deux ce monologue d’Evgueni Grichkovetz pour révéler la schizophrénie d »un personnage qui n’arrive pas à suivre la prolifération de sa pensée, et pour qui la tentative obsessionnelle de ressentir En même temps la complexité du monde apparaît aussi vaine que nécessaire. Parsemée de souvenirs, de confessions d’enfance : trains, avions, photos de femmes nues, images de guerre, gargouillis du ventre, Marilyn, Elvis, etc, cette recherche absurde ouvre un livre fascinant de désirs, de sensations et d’images touchantes, drôles et parfois grinçantes compactées les unes aux autres.
Dans un bric à brac un peu enfantin, servis par une écriture alerte et chaotique, deux artistes du rien nous racontent sur un ton facétieux et tendre l’intime de l’être et le frottent à l’univers entier.
Jean-Claude Bonnifait et Serge Gaborieau ont choisi de prendre en charge à deux ce monologue d’Evgueni Grichkovetz pour révéler la schizophrénie d »un personnage qui n’arrive pas à suivre la prolifération de sa pensée, et pour qui la tentative obsessionnelle de ressentir En même temps la complexité du monde apparaît aussi vaine que nécessaire. Parsemée de souvenirs, de confessions d’enfance : trains, avions, photos de femmes nues, images de guerre, gargouillis du ventre, Marilyn, Elvis, etc, cette recherche absurde ouvre un livre fascinant de désirs, de sensations et d’images touchantes, drôles et parfois grinçantes compactées les unes aux autres.
Dans un bric à brac un peu enfantin, servis par une écriture alerte et chaotique, deux artistes du rien nous racontent sur un ton facétieux et tendre l’intime de l’être et le frottent à l’univers entier.
Parce que l’amour est aussi un théâtre – poème de Louis Aragon
22 Avrilà 18h
Tarifs : 14 euros plein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
D’après Théâtre/Roman de Louis Aragon
mise en scène : Thomas Matalou avec le bienveillant regard de Lucas Bonnifait
Création et interprétation : Thomas Matalou
Cajon, percussions : Frédéric Jessua – Accordéon : Sylvie Magand – Clarinette Basse : Stanisla Netter
Ca serait comme un désir. Comme une envie. Vitale. Comme l’amour.
Ca serait comme un besoin de parler. Parler d’Amour. Encore. D’amour d’un projet qui mettrait du temps à exister. Parler de ça. De nous. De certaines interrogations partagées. Ou non. Mais qu’importe ! Essayer de parler de théâtre. Du Théâtre. De cet amour aussi ; d’un fantasme. Chanté celui-ci. Pourquoi pas ? Et pourquoi pas ne pas trouver un lien entre ce rêve inextinguible, qui ne cesse d’être et qu’il faut à tout prix réaliser, et le chant d’amour. Une forme de parade nuptiale. Traverser une sorte de chant, avec pour seule motivation,
celle de faire ressentir.
Création et interprétation : Thomas Matalou
Cajon, percussions : Frédéric Jessua – Accordéon : Sylvie Magand – Clarinette Basse : Stanisla Netter
Ca serait comme un désir. Comme une envie. Vitale. Comme l’amour.
Ca serait comme un besoin de parler. Parler d’Amour. Encore. D’amour d’un projet qui mettrait du temps à exister. Parler de ça. De nous. De certaines interrogations partagées. Ou non. Mais qu’importe ! Essayer de parler de théâtre. Du Théâtre. De cet amour aussi ; d’un fantasme. Chanté celui-ci. Pourquoi pas ? Et pourquoi pas ne pas trouver un lien entre ce rêve inextinguible, qui ne cesse d’être et qu’il faut à tout prix réaliser, et le chant d’amour. Une forme de parade nuptiale. Traverser une sorte de chant, avec pour seule motivation,
celle de faire ressentir.
Parce que l’amour est aussi un théâtre reviendra à La Loge les 29, 30 et 31 mai à 21h
LES DACTYLOS
24 Avrilà 19h / 25 Avrilà 19h / 26 Avrilà 19h
Tarifs : 14 euros plein, 10 réduit (étudiants, chômeurs)
De Murray Schisgal – Traduit par Laurent Terzieff
Mise en scène de Julia Allouache – Création lumière de Suzie Cuvelier.
Avec Patricia Morejón et Pierre Prod’homme.
Mise en scène de Julia Allouache – Création lumière de Suzie Cuvelier.
Avec Patricia Morejón et Pierre Prod’homme.
De même que l’auteur nous parle de tout sauf de dactylos, l’espace du bureau se transforme rapidement en un non-lieu, la pièce s’élevant au-delà de son postulat de départ pour atteindre un niveau métaphysique.
En une heure, elle a tout juste le temps de naître pour mourir brusquement, nous laissant entrevoir une brève lumière parmi l’obscurité.
En une heure, elle a tout juste le temps de naître pour mourir brusquement, nous laissant entrevoir une brève lumière parmi l’obscurité.
