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Les dédicaces de l’atelier contemporain


L’Atelier Contemporain est plein d’une énergie positive!
Prêt à RE-AGIR! en réaction à une certaine morosité ambiante pesante …. Le futur est plein d’espoir, les artistes sont plein de créativité, le monde bouillonne.
L’Atelier fête ses 5 ans et vous entraîne dans une explosion artistique…Donc place à l’Art,
DECOUVREZ UNE NOUVELLE FORME D’ EXPRESSION PICTURALE !

image à la une -Digigraphie Sophie Griotto

 

La Digigraphie® est le fruit de nombreuses années de recherche du groupe Seiko Epson sur les performances techniques de ses imprimantes et sur la qualité et la résistance de ses encres pigmentaires UltraChrome™. La Digigraphie® est un label technique qui permet de produire ou reproduire une oeuvre d’art en série limitée. De quoi ouvrir de nouvelles perspectives aux artistes, mais aussi aux musées et aux galeries d’art. Désormais, chaque création pourra avoir sa réplique numérique. Une réplique jalousement conservée, puisque chaque reproduction est numérotée, référencée et signée par l’artiste. La Digigraphie® est un label d’excellence qui répond à des critères précis et à des usages stricts. C’est le gage de sa valeur et la condition de son succès.

Origine:

La création du label Digigraphie est relativement récente. La Digigraphie® est officiellement lancée le 13 novembre 2003, à l’occasion du centenaire du salon d’Automne. Mais sa pratique est beaucoup plus ancienne. Depuis plusieurs années, des photographes, des sculpteurs et des peintres, ainsi que des prestataires de services (laboratoires photo et ateliers lithographiques), utilisent la technologie des imprimantes Epson pour réaliser des impressions sur du papier d’art. Ils ouvrent ainsi la voie à une nouvelle discipline : la reproduction numérique d’une œuvre d’art.

A la recherche d’un nom:

Mais quel nom donner à une impression d’art numérique de haute qualité réalisée sur une imprimante Epson ? Cette question se pose dès 1991 aux Etats-Unis, lorsque Jack Duganne, maître imprimeur chez Nash Editions, cherche un terme générique pour décrire les &ouelig;uvres de l’artiste Diane Bartz, réalisées à l’aide de la technologie jet d’encre. Il utilise d’abord le terme français  » jet d’encre « , puis  » gicleur  » et enfin  » Giclée « . Un nouveau label est né. (Source : « L’impression numérique  » de Harald Johnson, éditions Eyrolles)

Les artistes français sont également confrontés au même problème que Duganne. Ils écartent immédiatement l’expression  » jet d’encre « , qu’ils trouvent inappropriée pour une impression d’art. Certains d’entre eux décident alors de créer leur propre label. C’est le cas de Philip Plisson, artiste spécialisé dans les photographies maritimes, qui crée  » Pixographie « , ou de Jean-Noël l’Harmeroult, photographe célèbre, qui nomme ses œuvres « Hyperchromes « .

Ces deux professionnels de l’image utilisent alors un label personnel pour décrire leurs impressions d’art en édition limitée créées à l’aide des imprimantes photo professionnelles Epson.

L’arrivée du label « Digigraphie »

Face à ces développements, Epson France dépose le nom de Digigraphie® auprès de l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) et de l’OHIM (Institut de dépôt des marques européennes) en 2003.La marque devient alors européenne. Tous ceux qui respectent les règles d’usage peuvent désormais utiliser ce label.



LART sous toutes ses formes est un produit de luxe, élitiste, qui reste inaccessible au plus grand nombre.

L’histoire montre que de son vivant, un artiste aura de grande difficultés à en vivre correctement.

Il y a bien sûr des exceptions aussi marginales que l’art lui même.

Dans de nombreux cas, ce n’est pas le manque de capacité créative de l’artiste qui le met en situation d’échec, mais l’absence d’esprit mercantile.

Ce constat étant fait, que peut-on envisager si l’on s’engage dans la voie de la démocratisation de l’art et d’une certaine rentabilité artistique?

 

IL existe depuis longtemps des produits dérivés de la création unique qui se déclinent aussi bien dans la représentation picturale que dans la sculpture, comme les lithographies, les affiches ou les reproductions en plâtre.


Mais finalement, ces produits ne concernent que des artistes morts ou possédant une certaine notoriété, ce qui ne fait pas avancer la multitude des artistes contemporains inconnus.

Aujourd hui, depuis 1995 aux Etats Unis et maintenant en France depuis 2003, émerge, avec LES DIGIGRAPHIES, une nouvelle technologie d’impression haute résolution, associant le numérique à des encres de nouvelles génération à base de pigments.
Cette innovation ouvre la porte à des orientations artistiques inédites au sein de la création picturale.

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