Les jeunes Français face au sentiment de solitude en hiver
Plus d’1 jeune sur 2 ressent un mal-être accru à l’approche de l’hiver 
À mesure que les jours raccourcissent et que le froid s’installe, le moral des jeunes Français décline. Selon une étude Azar menée par IPSOS, plus d’1 jeune sur 2 (55%) déclare ressentir davantage d’émotions négatives à cette période de l’année : fatigue, épuisement, anxiété ou encore stress.
Cette période de l’année agirait comme un révélateur des fragilités du quotidien, mais aussi d’un besoin croissant de connexion et de soutien au sein de la jeune génération.
Les femmes et les étudiants plus touchés/
Si ce ressenti concerne une majorité de jeunes, certains profils sont plus touchés que d’autres. Les jeunes femmes, notamment :
- 61% d’entre elles disent ressentir une dégradation de leur bien-être en automne-hiver (contre 48% des hommes)
- 41% des femmes déclarent se sentir épuisées (contre 28% des hommes)
- 27% évoquent un stress ou une angoisse marquée (contre 14%).
Les étudiants apparaissent également comme une population particulièrement exposée :
- 60% d’entre eux affirment être affectés par cette période,
- 40% se disent épuisés à l’approche de l’hiver.
Entre précarité, charge mentale et incertitude sur l’avenir, la période automnale agit comme un amplificateur des fragilités déjà présentes.
La France parmi les pays européens les plus touchés/
Les résultats de cette étude font écho à ceux de la Bertelsmann Stiftung, publiés en 2024, qui montrent que 63% des jeunes Français se sentent seuls, contre 57% en moyenne en Europe.
La France apparaît ainsi comme l’un des pays où le sentiment de solitude chez les jeunes est le plus marqué, confirmant l’importance de multiplier les espaces d’échange et de soutien.
Des espaces d’échange pour recréer du lien/
Face à ce constat, les applications de chat vidéo comme Azar jouent un rôle croissant dans la façon dont les jeunes cherchent à maintenir des interactions sociales authentiques, même à distance.
Ces échanges spontanés permettent de rompre la monotonie du quotidien, d’ouvrir de nouvelles perspectives culturelles et de partager des moments, y compris pendant les mois les plus gris.
En créant des espaces d’échange accessibles et bienveillants, Azar contribue à renforcer les liens sociaux à une période de l’année où la solitude et le manque de lumière peuvent peser sur le moral.
