À la veille de l’ouverture du Salon du Mariage 2017, à Paris, la Mustang continue d’entretenir sa légende et force est de constater que de plus en plus de mariés choisissent la sportive de Ford pour le jour J.
Cette année encore, la Ford Mustang a vécu un été chargé. Alors que l’édition 2017 du Salon du Mariage s’apprête à ouvrir ses portes, les carrosses ou autres véhicules vintages sont les attelages traditionnels pour transporter les jeunes mariés le jour J. Parmi les voitures les plus souvent choisies pour le grand jour, la légendaire de Ford connaît un immense succès à travers toute l’Europe.
Ford a suivi cinq mariages cet été en Allemagne, en Belgique, en France et au Royaume-Uni, lors desquels différentes générations de Mustang ont été les stars d’un jour.
« Se marier, c’est déjà quelque chose d’incroyable. Alors en Mustang…c’est magique », a déclaré David, marié en France en juillet dernier. « Nous ne voulions pas seulement une belle voiture qui soit intemporelle, mais aussi puissante, sauvage et qui soit synonyme d’aventure, en espérant qu’elle soit à l’image de notre mariage !« , raconte Jake, qui a choisi, avec sa jeune épouse Lucy, une Mustang Coupe de 1967 couleur Jaune Printemps pour leur grand jour, célébré à Leicester, au Royaume-Uni.
Une augmentation de +50% des demandes de Mustang pour les mariages en 2017
En France, la Mustang figure parmi les voitures les plus demandées pour les mariages sur le site Roadstr.fr, spécialisé dans la location de véhicules d’exception. « Il y a un engouement réel, en France, pour les Mustang : on a enregistré une augmentation de +50% des demandes par rapport à 2016 pour les mariages« , explique Thomas Ceccaldi, fondateur et responsable du site de location.
« La demande est particulièrement importante sur les modèles 1966, 1967 et 1968, même si les futurs mariés recherchent aussi beaucoup les versions plus récentes. Les convertibles sont les déclinaisons qui rencontrent le plus grand succès et on a également une forte demande pour les Mustang blanches, bleues et rouges« .
