Connu pour ses thrillers sombres et haletants, Jean-Christophe Grangé surprend en publiant, ce 16 octobre, Je suis né du diable(Albin Michel). Un livre dans lequel le maître du polar français délaisse le crime et l’enquête pour explorer ses propres ténèbres.
- •Dans Je suis né du diable, Jean-Christophe Grangé plonge dans les abîmes de sa propre histoire. Loin des intrigues criminelles et des enquêteurs tourmentés qui ont fait son succès, l’écrivain livre un texte personnel, parfois dérangeant, toujours sincère.
- •Tout part d’une question que lui pose régulièrement son entourage : pour rédiger les récits glaçants qui ont fait son succès, où a-t-il puisé son inspiration ?
- •À l’occasion d’une grave dépression, il va découvrir, dans le dossier du divorce de ses parents que lui confie sa mère, des révélations sur son père qu’il n’a jamais connu…
- •Avec ce livre, Grangé quitte le territoire familier du thriller pour s’aventurer sur celui, plus intime, de l’autobiographie. Une première pour l’écrivain.
- •Loin d’un retour narcissique sur les blessures d’enfance – genre usé jusqu’à la corde par la littérature contemporaine – Je suis né du diablese lit comme une confession sans filtre, où l’auteur dévoile ses peurs, ses obsessions et ses blessures.
- •Depuis près de trente ans, Jean-Christophe Grangé s’impose comme l’un des écrivains français les plus lus dans le monde.
- •Ses romans – Les Rivières pourpres (1998), Le Concile de pierre (2000), Miserere (2008) – se sont vendus à des millions d’exemplaires et ont été traduits dans plus de trente langues. Ses adaptations au cinéma et à la télévision ont confirmé son aura internationale.
Jean-Christophe Grangé, Je suis né du diable, Albin Michel, 336 p., 21,90 €.
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Photo L’auteur quitte l’univers de la fiction dans son dernier livre paru ce 16 octobre (crédit : Zen Lefort – MYOP / Albin Michel).
