On vous emmène découvrir un bistrot authentique. Une devanture vermillon, une ambiance fidèle à celle d’antan : cool gourmande et pleine de panache. Des chaises Thonet, le zinc et choix sur ardoise… Pas de doute ici, nous sommes bien au bistrot ! Rue Richer, à deux pas de Grand Boulevard, Le Beaucé, aussi nature peinture que Marius Benard le big boss, est un secret bien gardé depuis déjà quelques années…
Dirigé par Marius Benard le big boss et chef, le restaurant propose une cuisine généreuse et ultra réconfortante qui n’hésite pas à redorer le blason de produits « mal aimés » à arroser d’un petit canon issu de leur superbe sélection.
LA PASSION ET LE GOÛT DES BONS PRODUITS QUI SE TRANSMETTENT DE PÈRE EN FILS
« A 12 ans au restaurant, je commande des Andouillettes ». Ça n’a l’air de rien comme ça, mais c’est le début d’une histoire d’amour avec la cuisine bistrot honnête, sincère et parfois clivante, qui rythme aujourd’hui la vie de Marius propriétaire et chef de cette joyeuse bibine du 9.
Il propose au Beaucé une carte traditionnelle bien léchée. C’est simple, Marius aime cuisiner ce qu’il aime manger : Alors à l’ardoise, les abats sont bien présents à côté des terrines maison ou des œufs mayo’ : faut dire que « Les tripes, c’est chic » !
C’est grâce à ses expériences auprès de Rodolphe Paquin au Repaire de Cartouche, Gilles Ajuelos à La Marlotte (Paris 6) ou encore Olivier Buhrel au restaurant Les Côtelettes (Paris 4) et surtout auprès de son père Gilles Benard au restaurant QueDuBon (Paris 19), qu’il aiguise ses couteaux pour se lancer en solo en 2020 avec le Beaucé où il perpétue le nom de Louise, une amie très chère.
Dans le verre, ce sont des purs jus savamment castés par Marius en direct avec des producteurs qui souvent deviennent des amis. S’alignent donc sur l’ardoise plus de 150 références, dont des Blancs, comme le Gaudrelle Vouvray Les Gués d’Amand à déguster avec le carpaccio de saint Jacques de Normandie/vinaigre japonais et coriandre fraîche, « Le Facteur su’l’vélo » à 36€ ou un Arbois du Domaine de La Tournelle, « Fleur de Savagnin » à 65€ en passant par le VDF du Domaine de La Sauvagère : « Lilibertad » à 45€.
En rouges, on trinque avec un Juliénas de David-Beaupère « Les trois verres » à 42€ ou un excellent Saint-Joseph d’ Hervé Souhaut : « Le Clos des Cessieux » à 68€ sans oublier le Morgon Vieilles Vignes du Domaine Guy Breton à siroter en compagnie de l’entrecôte Simmental…
Au Beaucé on mange, on boit, on partage, on vit. On se sent bien !
INFOS PRATIQUES
Le Beaucé
43 rue Richer – 75009 Paris
Accessibilité
Métro 9 – Richelieu Drouot / Grand Boulevard
Horaires
Du Mardi au Vendredi 12h-14h et 19h30-22h30 et le Samedi de 19h30 à 22h30
Sur réservation
Panier Moyen
Le midi
Entrée-plat ou plat-dessert : 22 €
Entrée-plat-dessert : 25 € Le soir
Choix sur ardoise : environ 40 €
# de couverts
Salle: 40 places assises Terrasse: 20 places assises