Les plus gros fessiers seraient aussi les plus gros QI. Une injustice révélée par une étude de l’université d’Oxford portant sur quelques 16 000 femmes. Selon celle-ci, les femmes au postérieur le plus rebondi seraient à la fois en meilleure santé et plus intelligentes, ceci grâce aux… Oméga-3 !
Toutes les graisses ne se valent pas
En effet, les graisses contenues dans la région dite glutéo-fémorale, c’est-à-dire les fesses et les cuisses, seraient du même type que celles contenues dans les hanches. Elles auraient tendance à stocker plus d’Oméga-3, des acides gras reconnus comme bénéfiques, et à relâcher moins de cytokines, messagers cellulaires pouvant agir sur le métabolisme. Quant aux « personnes en forme de poire », par contre, elles auraient droit à des graisses plus actives et plus libérales sur l’envoi de cytokines, parfois jusqu’au diabète et à la maladie cardiaque.
Au final, alors que les personnes aux fesses généreuses auraient une santé comparable à celle des maigres, ceux à « l’estomac épais » courraient nettement plus de risques. Pire, il serait impossible de déplacer la graisse d’une partie du corps à une autre. Une hypothétique solution médicamenteuse pourrait en revanche bloquer le dépôt dans une zone, ou orienter les « nouvelles arrivantes » vers une autre.
Alors, Kim Kardashian et Einstein, même combat ?
— | Albert Cossery |
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