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Trafic : Pour ceux qui quitteraient Paris ce soir, la N10 sera fermée dans les deux sens (depuis Paris et en direction de Paris) entre Sonchamp et Ablis de 21h à 6h du matin.

Pose de la 1re pierre de la cité artisanale de Belleville 🚧

Ce matin, à 11h, au numéro 37 de la rue Bisson dans le 20e arrondissement, à était  posée la 1ère pierre de la future cité artisanale de Belleville.

UN FUTUR PÔLE ARTISANAL🪜

  • L’artisanat fait partie de l’histoire du quartier de Belleville. Longtemps peuplé de marbriers, souffleurs de verre, céramistes, métalliers, ferronniers ou encore modélistes, il continue aujourd’hui à perpétuer cet héritage.
  • La politique menée par la Ville de Paris depuis plusieurs années favorise la fabrication intra-muros et encourage la relocalisation d’activités artisanales et industrielles.
  • Pour renforcer ce développement, la future Cité artisanale sera l’antenne et la vitrine d’un savoir-faire unique au cœur de ce quartier populaire de Paris.
  • Initié il y a plus de 10 ans par la Ville de Paris, la Régie immobilière de la ville de Paris et un collectif d’habitants et d’artisans, ce projet complexe prévoit la construction d’un nouveau bâtiment en bois, avec une vingtaine d’ateliers répartis sur 1800 m² en plus de la rénovation de la métallerie attenante de 500 m².
  • LE CONTEXTE 🧐

    • A la veille des journées de l’artisanat de Belleville, le lancement de ce chantier vient concrétiser la longue mobilisation d’habitants et d’artisans du quartier en faveur de ce projet.
    • Pour la Ville de Paris, c’est un moyen de redynamiser le tissu économique et commercial, la fabrication locale et la création d’emplois.
    • Piloté par la RIVP, la régie immobilière de la Ville de Paris, ce projet de Cité artisanale a bénéficié d’un financement municipal de 2,5 millions d’€ qui permettra de proposer un niveau de loyer adapté aux activités ciblées, à 180 euros le m2 par année.
    • Cette pose symbolique de la 1ère pierre se déroulera sous le patronage d’Eric Pliez, maire du 20e arrondissement, en présence de Nicolas Bonnet-Oulaldj, adjoint à la maire de Paris en charge du commerce, de l’artisanat.

« L’âge atomique » au Musée d’Art Moderne 🖼️

Le Musée d’Art Moderne (MAM) de Paris revisite l’histoire de la modernité au 20esiècle à travers l’imaginaire de l’atome. L’exposition s’ouvre aujourd’hui et prendra fin le 9 février.

 

  • Le MAM a rassemblé 250 œuvres inspirées par la découverte scientifique de l’atome et de ses applications.
  • Le sujet est la bombe nucléaire dont les conséquences dévastatrices ont changé le cours de l’histoire de l’Humanité.
  • À quels supports s’attendre? Les visiteurs auront accès à des peintures, des dessins, des photographies, des vidéos et des installations  ainsi qu’à une documentation inédite.
  • Cette exposition révèle pour la 1re fois dans une institution muséale française, les positions très différentes, adoptées par les artistes face aux avancées scientifiques et aux controverses qu’elles ont suscitées.
  • Traitant d’un sujet plus que jamais d’actualité, dans le contexte des conflits internationaux actuels, l’exposition s’inscrit dans la volonté du musée de faire écho, dans sa programmation, aux préoccupations culturelles et sociétales contemporaines.

 

  • La désintégration de la matière a inspiré l’abstraction mystique recherchée par Vassily Kandinsky et Hilma af Klint, d’une part, et l’art conceptuel de Marcel Duchamp, inspiré par les phénomènes infra-sensibles.
  • La bombe atomique se trouve au cœur de cette exposition. Elle fut larguée sur la ville japonaise d’Hiroshima, par les États-Unis, le 6 août 1945. Son invention et son utilisation destructrice marquent le début de l’« Âge atomique ».
  • Les artistes du monde occidental en proposent des lectures multiples. Les plus grands artistes de la 2e moitié du 20e siècle  ont été inspiré par ces recherches.
  •  Francis Bacon, Salvador Dalí, Lucio Fontana, Gary Hill, Pierre Huyghe, Asger Jorn, Yves Klein, László Moholy-Nagy, Barnett Newman, Sigmar Polke, Jackson Pollock se sont exprimés à leur manière sur le sujet.
  • Les œuvres rassemblées pour l’exposition proviennent de collections publiques et privées de grandes institutions internationales.
  • Elles sont enrichies par des archives de photographies et de documents audiovisuels historiques de l’Académie des sciences, de la Bibliothèque nationale de France, de l’Institut Curie, du Muséum national d’Histoire naturelle et même de la New York Public Library.
  • À découvrir au MAM, 11 avenue du Président Wilson,16e arrondissement.

C’est arrivé un 11 octobre : Paris découpé en 12 arrondissements ✂️

La 1ère division de Paris en arrondissements remonte au 11 octobre 1795.

 

  • La loi du 19 vendémiaire an IV (ou 11 octobre 1795) a abouti au 1er découpage de Paris, non pas en 20 arrondissements comme c’est le cas de nos jours, mais en 12.
  • Ces arrondissements sont instaurés en application de la Constitution du 5 fructidor de l’an III (soit le 22 août 1795) adoptée par la Convention nationale.
  • L’article 3 de la Constitution maintient le département de Paris mais son nom devient le département de la Seine.
  • Son article 5 supprime les districts, dont celui de Paris.
  • La carte est différente de celle du Paris actuel. Les arrondissements sont numérotés du 1er au 12e, d’ouest en est et du Nord au Sud,. Il y a 9 arrondissements sur la rive droite de la Seine. Et 3, rive gauche.
  • À l’époque, le régime politique souhaite diviser la Capitale en 12 municipalitésde plus de 100 000 habitants. Leur taille était déjà inégale, le découpage se calait en effet sur les anciennes paroisses.
  • 20 arrondissements au 19e siècle 🗺️

  • Le découpage en arrondissements tels que nous les connaissons à Paris ont été définis par la loi du 16 juin 1859.
  • Elle porte leur nombre de 12 à 20.
  • Cela correspond à une extension du territoire grâce à l’annexion des faubourgs situés entre les fortifications de l’enceinte de Thiers et le mur des Fermiers généraux.

Les rendez-vous du week-end.

Le week-end s’annonce riche en événements culturels notamment. Ce samedi, vous avez l’occasion de visiter l’Hôtel de Ville et de revenir avec un souvenir des Jeux Olympiques ou de découvrir une exposition très originale à la fondation Cartier…

 

  • Pour la 1re fois, une rétrospective est organisée en Europe, retraçant le parcours d’Olga de Amaral, une figure de la scène artistique colombienne et du Fiber Art.
  • Ses oeuvres sont créées avec des fibres naturelles ou synthétiques et d’autres composants, tissus ou fils.
  • L’exposition rassemble près de 80 œuvres créées entre les années 1960 et aujourd’hui, dont beaucoup n’ont jamais été présentées hors de Colombie.
  • Outre les créations à la feuille d’or qui ont fait la notoriété de cette artiste, l’exposition révèle ses 1res recherches et expérimentations textiles, ainsi que ses pièces monumentales.

 

  • La 3e édition des Portes Ouvertes de l’Hôtel de Ville aura lieu demain de 11h à 18h.
  • Ce qui attend les visiteurs? Des animations et surtout une braderie avec des objets souvenirs des derniers Jeux Olympiques.
  • A la Grande Braderie des Jeux de Paris 2024 seront en vente 8 000 produits: des bobs, des serviettes de bain, des drapeaux, des sacs de sport.
  • Les enfants auront l’opportunité de profiter des espaces de jeux dédiés et de groupes musicaux pour les faire danser.
  • Les dahlias olympiques seront distribués sur le parvis et des ateliers de rempotage sont prévus dans la cour de l’Hôtel de Ville. Conçus par Christophe Kneblewski, un jardinier de la Ville de Paris au Parc floral, ces dahlias arborent une couleur rouge orangé rappelant la flamme olympique. 50 000 pieds avaient été produits.
  • Et pour finir, il sera aussi possible de visiter gratuitement l’exposition Paris !

Au pavillon de l’Arsenal, une conférence sur l’Atlas 🍃

  • Ce samedi de 16h30 à 18h30 le Pavillon de l’Arsenal propose la conférence intitulée « L’Atlas comme outil de perception du Paysage parisien » et animée par Ben Gitai, architecte et docteur de l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ).
  • Elle fera écho à une exposition sur ce thème, présentée au rez-de-chaussée de la grande halle du Pavillon de l’Arsenal.

Revue de presse 🗞

 

Hier après-midi, de nombreuses personnalités se sont retrouvées à l’église Saint-Eustache, dans le 1er arrondissement où ont eu lieu les funérailles du comédien Michel Blanc, décédé le 3 octobre à Paris. Parmi la foule, anonymes et célébrités ont tenu à lui rendre un ultime hommage. Ses amis de la troupe du Splendid et sa compagne Ramatoulaye Diop ont assisté, émus, à la cérémonie religieuse, comme le relate Paris Match.

La mairie va mettre en place une carte «famille monoparentale» qui permettra à plus de 75000 familles souvent précaires de simplifier leurs démarches et d’ouvrir de nouveaux droits, selon une décision du Conseil de Paris. L’objectif est de «prendre en compte les besoins spécifiques» de ces familles et leur faire «gagner du pouvoir d’achat», apprend-on du Figaro.

Source L ‘Essentiel

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