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Le Salon des Beaux-Arts revient dès ce mercredi au Réfectoire des Cordeliers (6e). Il sublime la diversité de l’art contemporain à travers deux sessions successives. 

  • •Depuis sa création en 1864, le Salon des Beaux-Arts de Paris a exposé les plus grandes références françaises de la peinture, de la sculpture ou de la gravure, dont Camille Claudel, Auguste Rodin ou Henri de Toulouse-Lautrec.
  • •Il est organisé par la Société Nationale des Beaux-Arts, fondée en 1862 par Théophile Gautier et Louis Martin et reconnue d’utilité publique depuis 1909.
  • •Le salon ouvre chaque année ses portes aux créateurs français ou internationaux, s’illustrant dans de nombreux secteurs comme la peinture, la photographie, l’illustration ou encore la céramique.

•Dès aujourd’hui, de 12h à 21h, et jusqu’à dimanche, le public est invité à découvrir les sections peinture, sculpture et textile. Un vernissage d’ouverture est prévu à 18h.

  • •La semaine prochaine, de mercredi à dimanche, le salon déploiera les sections naturalisme, papiers-papiers, photographie et sculpture.
  • •Des balades artistiques guidées sont proposées gratuitement et sans réservation, les mercredis à 12h, 15h et 19h, et les samedis à 12h, 15h et 18h.
  • •Chaque année, le Salon des Beaux-Arts récompense aussi les artistes.
  • •Le Prix Pierre Puvis de Chavannes est attribué à un jeune créateur, le Prix Eugène-Louis Gillot aux peintres de marine et le Prix Deyrolle remis aux artistes naturalistes.
  • •Situé au 15 rue de l’École de Médecine, le Réfectoire des Cordeliers est le dernier vestige d’un ancien couvent de moines franciscains construit au XIIIe siècle.
  • •Cette grande salle atypique située au cœur du Quartier Latin a été classée Monument historique en 1905.
  • •Elle est notamment célèbre pour avoir accueilli les assemblées politiques de Georges Jacques Danton, Jean-Paul Marat et Camille Desmoulins pendant la Révolution française.

La Ville, en partenariat avec le Carrefour des associations parisiennes (CAP), organise aujourd’hui sa soirée annuelle de l’engagement citoyen et associatif, dans les murs de l’Hôtel de Ville (4e).

  • •Près de 700 000 bénévoles sont mobilisés au quotidien à Paris.
  • •Chaque année, cette soirée met en avant les actions associatives qui bénéficient aux Parisiens et au territoire.
  • •Plusieurs secteurs seront délimités : l’engagement pour la culture et les loisirs ; pour le climat et l’environnement ; pour la jeunesse ; pour la santé ; pour la solidarité ; ou encore pour l’animation.
  • •La soirée est ouverte à tous les Parisiens qui souhaitent en savoir plus sur le tissu associatif de la capitale.
  • •Ceux qui veulent s’investir sont aussi les bienvenus. Des espaces sont dédiés au conseil et à l’accompagnement dans le processus d’engagement.
  • •Après l’accueil des participants, le moment s’ouvrira sur une conférence sur l’engagement citoyen et le rôle d’assesseur lors des élections.
  • •Les prix Tous Bénévoles, qui récompensent des actions menées dans la capitale, seront ensuite remis aux lauréats.
  • •Une présentation permettra de découvrir le Carnet de l’Engagement, outil imaginé par le Conseil parisien des associations pour permettre à chacun de retracer son parcours associatif et ainsi valoriser les actions.
  • •À partir de 20h, un buffet sera proposé, animé par un DJ set.
  • •En plus, toute la soirée, une cinquantaine d’acteurs du secteur présenteront leurs activités via des stands et ateliers participatifs.
  • •Le Carrefour des Associations Parisiennes propose des formations, accompagnements personnalisés, mais aussi des animations culturelles.
  • •Chaque année, l’organisme créé en 2007 forme plus de 3 000 associations et 2 500 stagiaires.
  • •Situé dans la gare de Reuilly (12e), il oriente aussi le grand public dans ses recherches et « développe des projets de politiques publiques », précise la Ville.

Y aller : 3 rue de Lobau, 4e. Gratuit, invitations à récupérer ici.

Plusieurs rendez-vous célèbrent aujourd’hui, dans la capitale, la Journée internationale des personnes handicapées. L’occasion de revenir sur les politiques publiques mises en place par la Ville sur le sujet.

  • •Cette journée à l’initiative de l’Organisation des Nations-Unies (ONU) a lieu depuis 1992.
  • •Elle a plusieurs objectifs : sensibiliser l’opinion publique, valoriser les actions de proximité et mieux faire connaître les différentes situations de handicap, visibles ou invisibles.
  • •Des conférences de sensibilisation à différents aspects du handicap sont proposées à l’université Assas (6e), de 11h30 à 14h, et à l’université Paris 8, de 10h à 16h chaque jour jusqu’à la fin de semaine.
  • •Des institutions mettent aussi en avant l’accessibilité, comme le musée du quai Branly Jacques-Chirac (7e) ou le musée Rodin (7e), qui présente un nouveau parcours en audiodescription et propose des visites guidées en langue des signes, pour les publics malvoyants et aveugles et, vendredi, pour les personnes à mobilité réduite. Informations ici.
  • •La Ciivise imagine de son côté un rendez-vous de réflexion et d’action sur la protection face aux violences sexuelles faites aux enfants, toujours en lien avec la thématique du handicap.
  • •Jusqu’à l’année prochaine, Paris poursuit sa « stratégie handicap et accessibilité universelle 2022-2026 votée au Conseil de Paris d’octobre 2022 », précise la mairie.
  • •Elle est axée sur 3 piliers : « le renforcement de l’information et de la participation active des personnes en situation de handicap à la vie de la cité », « l’élargissement de la palette de solutions médico-sociales et de droit commun pour donner plus de choix aux personnes en situation de handicap et à leur famille » et « l’encouragement à l’innovation au service de l’accessibilité universelle », ajoute-t-elle.
  • •L’historique des politiques publiques de la Ville sur le handicap est à retrouver ici.

Fermé fin 2024, un espace du musée du Louvre (1er) rouvre aujourd’hui sous un nouveau nom. La nouvelle Galerie des Cinq Continents accueille une sélection d’œuvres venues du monde entier.

  • •Dans le sud du Palais du Louvre, entre les ailes de Flore et Denon, un espace autrefois appelé Pavillon des sessions était, jusqu’en 2024, accessible aux visiteurs.
  • •Imaginé sous le Second Empire par l’architecte Hector-Martin Lefuel, il servait à la base à « accueillir les sessions parlementaires », précise le musée.
  • •L’espace muséal du Pavillon des sessions a lui été inauguré en 2000.
  • •Souhaité par le président de la République Jacques Chirac, ce lieu préfigure le futur musée du quai Branly (7e) en s’ouvrant à nouveau aux arts non-occidentaux.
  • •Après quelques mois de travaux, l’espace est accessible à partir de ce mercredi, mais désormais appelé Galerie des Cinq Continents.
  • •« La sélection d’objets qui s’y trouve réunie reflète la diversité des collections publiques françaises », salue le Louvre.
  • •En plus du musée du quai Branly, on y trouve par exemple des pièces provenant du musée Guimet (16e), du musée national de la Marine (16e) ou de la BnF (13e).
  • •Surtout, le panel représente la richesse artistique des cinq continents et souhaite créer un « dialogue » entre les cultures et les civilisations.
  • •Une tête de sculpture moai, des figurines, des masques, une Vierge à l’Enfant espagnole, une statue de Jules César ou un bronze du dieu indien Vishnu se font notamment face.
  • •3 conférences thématiques sont prévues pour mettre en valeur cette inauguration.
  • •La première, le mercredi 10 décembre à 19h, porte sur les « Nouveaux regardssur les collections dans les musées européens ».
  • •Suivront, le 15 puis le 29 janvier 2026, une rencontre sur « la longue présence des arts extra-occidentaux dans les musées parisiens » puis sur les « Perspectives croisées sur la Galerie des Cinq Continents et la Rockefeller Wing du Metropolitan Museum of Art ».
  • •Billetterie ici, 10 € plein tarif.

Ces dernières années, de nombreuses politiques publiques encourageant à plus de végétalisation ont été menées par la Ville, entraînant la création d’espaces verts mais aussi des plantations d’arbres, dont les données exactes sont précisées par la mairie.

  • •D’août 2020 à décembre 2025, 130 433 arbres ont été plantés dans la capitale, selon Paris Data.
  • •En 2025, ce sont environ 15 000 spécimens qui ont rejoint le parc parisien.
  • •Ces données comprennent l’aménagement de parcs, jardins, de forêts urbaines comme sur la place de l’Hôtel de Ville (4e), ou la renaturation d’espaces verts existants. Mais ces chiffres n’indiquent pas le nombre, évidemment moindre, d’arbres déplantés.
  • •En parallèle, 209 339 m² d’espaces verts supplémentaires ont été créés ou rendus accessibles aux Parisiens sur la même période.
  • Plus de 57 000 arbres ont été installés aux abords du boulevard périphérique, de loin l’espace parisien le plus privilégié.
  • •Les bois de Boulogne (16e) et de Vincennes (12e) ne sont pas en reste, avec respectivement 14 500 et 14 900 végétaux supplémentaires.
  • •Au niveau des arrondissements, le 20e est en tête (9 279 arbres accueillis) devant le 15e, le plus peuplé (5 968), le 13e (2 589) et le 18e (2 333). Les secteurs les plus petits ou les plus urbanisés sont les moins concernés, comme le 9e (290), le 6e(327) ou le 5e (421).
  • •Carte complète accessible ici.
  • •Avec ces données, la mairie se rapproche de la réalisation de sa feuille de route prioritaire présentée en 2020, qui visait à 170 000 plantations d’ici à 2026.
  • •De nouvelles arrivées vertes devraient donc être remarquées l’année prochaine.
  • •Ce Plan Arbre prévoit aussi quelque 200 mesures en faveur de la végétalisation et de la protection de ces nouveaux espaces.
REVUE DE PRESSE

Un feu d’artifice mais pas de concert sur les Champs-Élysées le 31 décembre

Le réveillon 2026 sera un peu différent de celui de l’an dernier sur les Champs-Élysées (8e). Le 31 décembre au soir, il y aura bien un feu d’artifice mais pas de concert. Une décision prise par la préfecture de police pour des questions de sécurité, l’affluence créant des risques de mouvements de foule, précise Le Parisien.

Paris élue 5e meilleure ville du monde où faire du vélo

Le cabinet spécialisé Copenhagenize a publié, comme chaque année, son index des meilleures villes où faire du vélo dans le monde. Paris atteint la 5e place, seulement battue par 4 autres villes européennes : Utrecht, Copenhague, Gand et Amsterdam. La capitale française décroche un score global de 65/100, rapporte Le Bonbon.

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