De la French Touch à David Bowie, en passant par les biopics, le Forum des images (1er) explore les liens intimes entre cinéma et création musicale à travers un cycle de 3 chapitres jusqu’au 4 janvier prochain.
•« Le cycle Musique ! propose une offre pléthorique qui rend hommage à une esthétique sonore et visuelle qui a marqué une génération », explique Anne Marrast, l’une des 3 programmatrices cinéma de la structure.
- •Il s’ouvre avec le film d’animation Interstella 5555 (2003), une odyssée animée née de la collaboration entre Daft Punk et Leiji Matsumoto, le dessinateur d’Albator.
- •Il se poursuivra ensuite avec des documentaires comme French Waves (Julian Starke) ou le multi-primé Made in France, qui retrace l’histoire de DJ Mehdi.
- •Le public est aussi invité à participer à un blind test gratuit dimanche.
- •« Nous présenterons ensuite le genre incontournable du biopic autour de 10 films », poursuit Anne Marrast, qui cite Maria (2024), Aline (2020) avec Valérie Lemercier, ou encore Guy (2018), faux documentaire sur une vedette de variété incarnée par Alex Lutz.
- •« Nous aurons aussi la présence d’une universitaire qui expliquera comment un acteur peut s’engager en jouant dans un biopic », ajoute la programmatrice.
- •Le 21 novembre, la conférence Ni Muses Ni Groupies, animée par la journaliste Chloé Thibaud, reviendra sur l’histoire féministe de la musique.
- •Icône pop par excellence, le légendaire chanteur britannique David Bowie fait l’objet d’un « hommage exceptionnel pour les 10 ans de sa disparition », ajoute Anne Marrast.
- •Le Forum propose une série de projections de films méconnus de sa carrière d’acteur : L’Homme qui venait d’ailleurs (1976), Les Prédateurs (1983) de Tony Scott ou encore Labyrinth (1986).
- •Une conférence sur le dialogue artistique entre Bowie et le musicien japonais Ryuichi Sakamoto viendra compléter le portrait le 19 décembre.
- •Programmation complète ici.
Parmi les grands magasins parisiens, la Samaritaine (1er) est le premier à donner le coup d’envoi de sa période des fêtes de fin d’année, synonyme chaque année de décorations, animations et autres vitrines thématiques pour Noël.
•Dès aujourd’hui, la Samaritaine habille sa façade de milliers de rubans et éléments lumineux.
- •Une installation de la plasticienne Elsa Tomkowiak fera partie des pièces maîtresses de l’événement.
- •Un atelier de préparation d’emballages est aussi proposé, et le calendrier de l’Avent géant est de retour pour permettre aux personnes ayant acheté quelque chose dans le magasin en décembre de tenter de gagner des cadeaux.
- •Dès jeudi, le Printemps Haussmann (9e) suit le mouvement et adopte une ambiance new-yorkaise pour fêter l’inauguration, cette année, de son premier magasin dans la ville américaine.
- •Jusqu’au 4 janvier, les vitrines comme les restaurants de l’établissement nous font plonger dans la Big Apple. Et dès samedi, le lieu ouvre sa patinoire, au 7e étage de l’édifice, accessible tous les jours de 13h à 19h gratuitement et dès 6 ans.
- •Vendredi, à 16h30, c’est au tour du Bon Marché Rive Gauche (7e) d’inaugurer ses vitrines et d’ouvrir son Marché de Noël intérieur, avec chalets, animations et produits à découvrir.
- •Les Galeries Lafayette (9e) dévoileront leur programme festif dès mercredi 12 novembre, sur le thème Le plus beau des cadeaux.
- •Cette année, l’illustratrice d’origine parisienne Jeanne Detallante a été choisie pour imaginer les vitrines de Noël et les décorations de l’immense sapin de 16 mètres installé au cœur de l’enseigne.
- •Ici aussi, une patinoire sera ouverte sur le rooftop du lieu, dès le 1er décembre.
- •Au BHV Marais (4e), il faudra attendre le mardi 18 novembre pour le lancement de la thématique Rêverie de Noël, avec un spectacle son et lumière dès 18h30 sur la façade.
- •Du 26 novembre à Noël, les enfants seront invités à rencontrer le Père Noël dans l’établissement les mercredis, samedis et dimanches, de 11h à 19h.
L’enseigne d’animalerie Maxi Zoo vient d’ouvrir un magasin dans le 11e, le premier à être installé en centre-ville, symbole de la stratégie de développement du groupe.
- •Créé en 1993, le groupe Maxi Zoo possède plus de 400 magasins en France.
- •Déjà présent dans de nombreuses communes d’Île-de-France, comme Créteil (94), Villabé (91) ou Cormeilles-en-Parisis (95), il vient de s’installer à Paris, au 190 boulevard Voltaire (11e).
- •Il s’agit de la première installation dans un centre urbain pour la marque, qui souhaite développer ce format « conçu pour répondre aux attentes et aux besoins spécifiques des habitants des centres-villes».
- •Le lieu de 150 m² propose plus de 2 000 références variées, avec des produits alimentaires, d’hygiène ou des jouets et objets ludiques.
- •L’offre est « recentrée autour des univers chien, chat et rongeur », précise Maxi Zoo.
- •Elle fait aussi « la part belle aux produits faciles à transporter à pied», ajoute-t-elle.
- •4 conseillers seront présents pour orienter au mieux les visiteurs.
- •« Ce nouveau concept illustre notre capacité à innover et à nous adapter, tout en poursuivant notre ambition : être accessible à moins de 20 minutes de chaque possesseur d’animaux », soutient Rémy Brun-Lafleur, directeur immobilier et développement chez Maxi Zoo.
- •Le groupe prévoit l’ouverture de 60 nouveaux magasins par an d’ici 2029, dont 10 % en centre-ville.
Y aller : 190 bd Voltaire, 11e. Du lundi au samedi, de 9h30 à 19h.
Jusqu’au 31 mars, le Collège de France (5e) invite une autre grande institution parisienne, la Philharmonie (19e) de Paris, pour un cycle de 6 conférences autour de la musique d’aujourd’hui et de demain.
•Après la Comédie-Française ces derniers mois, voilà une nouvelle collaboration pour le Collège de France, à l’occasion des 10 ans de la Philharmonie.
- •« Nous voulions faire un peu le bilan de ces 10 ans et montrer toutes les formes d’art et de savoir qui se déploient dans la structure », explique le Pr William Marx, titulaire de la chaire Littératures comparées et coordinateur du cycle.
- •« Il y a des liens étroits entre les deux institutions, notamment par le compositeur Pierre Boulez », rappelle-t-il.
- •À chaque conférence, des « compositeurs, artistes et théoriciens » partageront la scène avec des professeurs du Collège de France pour évoquer plusieurs thématiques.
- •6 manifestations sont prévues jusqu’en mars dans l’amphithéâtre Marguerite-de-Navarre, dont une première dès ce soir, dès 18h30, en présence de l’ancienne ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, du directeur général de la Cité de la musique – Philharmonie de Paris, Olivier Mantei, et du Pr Pierre-Michel Menger.
- •« Nous allons parler du coeur du fonctionnement de la musique, mais aussi de la mise en scène, de ses liens avec les arts plastiquesou encore des formes que prennent les concerts aujourd’hui et qu’ils prendront demain », détaille William Marx.
- •L’organiste et compositeur Thierry Escaich animera le prochain rendez-vous, le 2 décembre.
- •Pour le dernier, le 31 mars 2026, le compositeur finlandais Esa-Pekka Salonen, futur chef principal de l’Orchestre de Paris, et son directeur artistique Christian Thompson, seront invités.
Situé au cœur du 15e, l’Hexagone Balard fête aujourd’hui les 10 ans de son inauguration. Mais qu’abrite cet édifice à l’architecture atypique ?
- •À l’origine, le site de Balard existe depuis la fin du XIXe siècle, avec l’ancienne base aérienne 117 et un bâtiment historique conçu par Auguste et Gustave Perret, témoins d’un passé militaire riche.
- •Le projet de centralisation des états-majors et des services du ministère, ambition remontant à plusieurs siècles, se concrétise en 2009 avec le lancement de la construction de l’Hexagone Balard.
- •Inauguré en 2015, il réunit en un seul lieu les différents états-majorsdes forces armées françaises – terre, air, marine – ainsi que des services administratifs, pour rationaliser leur fonctionnement et leur gouvernance.
- •L’Hexagone Balard, parfois surnommé le « Pentagone français » incarne ainsi la re fondation du ministère des Armées françaises.
- •L’édifice s’étend sur plus de 16 hectares autour d’un hexagone central, d’où partent six ailes formant de grands îlots avec des cours intérieures.
- •Son architecture, semblable à un origami géant en verre et métal, repose sur des pilotis pour une meilleure circulation de l’air.
- •Le bâtiment principal, le « bunker », héberge le centre des opérations où sont gérées en temps réel les missions militaires et les crises.
- •Ce regroupement, qui rassemble près de 10 000 personnels civils et militaires, vise à faciliter la coordination, la prise de décision et la conduite opérationnelle des forces armées.
- •La toiture photovoltaïque, la plus vaste de la capitale avec environ 5 000 m² de panneaux solaires, fournit près de 80 % des besoins énergétiques du site.
- •Le coût total du projet s’est élevé à 3,5 milliards d’euros.
Des kiosquiers pour répondre aux touristes
En janvier, l’Office de tourisme de Paris, alias Paris je t’aime, fermait son dernier guichet unique d’information. Pour renforcer son lien avec les touristes, l’institution a décidé de former et de rémunérer 37 kiosquiers, installés aux 4 coins de la capitale, afin de les conseiller et les orienter, rapporte Le Parisien.
Première défaite de la saison pour le PSG en Ligue des Champions
Invaincus lors de leurs 3 premiers matches, les Parisiens se sont inclinés à domicile, mardi soir, face au Bayern Munich (2-1) en Ligue des Champions. Pour ternir encore la soirée, Ousmane Dembélé et Achraf Hakimi sont sortis blessés, rapporte L’Équipe.
Photo& musique-Design-ABM-Studio-Visuels-Interstella-5555-©-Warner-Music-Because.-Moonage-Daydream-©-Collection-Christophel-1920.
