Actualités

Infos Paris.

Trafic : Deux RER A sur trois circuleront ce vendredi, suite à une grève des conducteurs de la RATP, mécontents des dysfonctionnements de leur logiciel de gestion des plannings. Le RER B sera lui aussi perturbé par un chantier sur un pont à Saint-Denis

Saint-Valentin : la playlist parisienne

A l’occasion de la Saint-Valentin, fêtée ce vendredi 14 février, la rédaction  vous propose sa playlist de chansons célébrant les liens entre l’amour et Paris, d’Edith Piaf à Joséphine Baker, en passant par Taylor Swift et The Chainsmokers.

L’AMOUR À PARIS

  • Edith PiafLes amants de Paris : Ecrit par Léo Ferré, ce titre n’est pas le plus connu de la carrière de la chanteuse, mais nous entraîne dans une histoire d’amour au coeur de la capitale.
  • Charles TrenetLa romance de Paris : L’un des plus grands succès de son auteur, cette chanson sortie en 1941, qui sera reprise par Juliette Gréco, Colette Renard ou Thomas Dutronc et Zaz, raconte une histoire d’amour parfaite à Paris.
  • Taylor Swift Paris. La star américaine a elle aussi chanté la capitale de l’amour dans ce titre dans lequel, « tellement amoureuse qu’elle pourrait arrêter de respirer », elle s’imagine à Paris.
  • The ChainsmokersParis. Dans ce tube du groupe de producteurs américains, la ville et ce qu’elle représente s’imposent comme un point d’ancrage pour un jeune couple face aux difficultés de la vie.
  • Donna Summer To Paris with Love. L’icône du disco raconte être tombée amoureuse en marchant dans les rues de Paris, et encourage tous ceux qui recherchent l’amour à visiter la capitale française.
  • Fred Astaire Paris Loves Lovers. Pour le chanteur et danseur américain, aucun doute, Paris est la capitale de l’amour : « Aucune ville que je connaisse ne donne à la romance une telle chance de grandir », déclame-t-il.

L’AMOUR DE PARIS

  • Joséphine BakerJ’ai deux amours. Comment ne pas évoquer Joséphine Baker et son légendaire « J’ai deux amours, mon pays et Paris», où la chanteuse célèbre ses attaches pour sa ville d’adoption.
  • Maurice ChevalierParis, je t’aime d’amour. L’auteur proclame ses sentiments pour la Ville Lumière dans ce titre, qui sera repris de nombreuses fois, notamment par Patrick Bruel en 2002.
  • Vanessa Paradis et MLa Seine. Créée pour le film Un Monstre à Paris, cette balade nous envoute autour d’un amour pour le fleuve qui traverse la capitale. Un délicieux duo.

Les rames MF19 testées sur le réseau francilien

Île-de-France Mobilités démarre aujourd’hui le test des nouvelles rames MF19 sur le réseau du métro francilien. Huit lignes seront concernées.

CE QU’IL FAUT SAVOIR

  • •À l’heure de l’agrandissement du réseau, Île-de-France Mobilités travaille en parallèle au remplacement progressif des rames les plus anciennes.
  • •Les rames MF19, plus modernes, comportent moins de places assises, permettant de transporter plus de voyageurs. Elles se déclinent en trois longueurs de rames, et peuvent passer de la conduite automatique à la manuelle.
  • •Les travaux d’aménagement concernent les voies, les quais, les accès aux stations, l’alimentation électrique, la signalisation mais aussi les systèmes de communication.

QUELQUES CHIFFRES

  • Huit lignes sont concernées par cette arrivée : les lignes 33 bis77 bis81012 et 13. Les nouvelles rames remplaceront 50 % des trainsactuellement en circulation sur celles-ci.
  • •Deux types de trains circuleront : la version « confort » comptera 146 places assises, dont 102 sièges fixes et 44 strapontins (lignes 3, 10 et 12). La version « capacitaire » aura 122 places assises, dont 90 sièges fixes et 32 strapontins (lignes 7, 8 et 13).
  • •Cela représente une capacité de 844 personnes embarquées en heure de pointe.

LE CALENDRIER

 

  • •Les tests de circulation commencent sur la ligne 10, où les travauxd’aménagement ont débuté en 2022. Elle devrait accueillir les MF19 dans sa rotation d’ici fin 2025.
  • •Les mises en circulation sont prévues pour 2026 sur la ligne 7 bis2027sur la 3 bis et sur la 132028 sur la 122029 sur la 82031 sur la 3et 2033 sur la 7.

La Philharmonie plonge dans les années disco

De ce vendredi au 17 août prochain, la Philharmonie de Paris se pare de paillettes et de boules à facettes pour une grande exposition sur le disco.

CE QU’IL FAUT SAVOIR

  • •En 2025, la Cité de la Musique fête ses 30 ans et Philharmonie de Paris souffle ses dix bougies. Pour l’occasion, une exposition festive a été choisie : Disco, I’m coming out.
  • •« Le disco émerge au croisement de différentes luttes pour les droits civiques, et accompagne, ou fait écho, au combat de la minorité africaine-américaine, de la communauté LGBTQ+, comme des mouvements féministes », rappelle le directeur général de la Cité de la Musique Olivier Mantei en présentant l’événement.
  • •L’exposition reviendra sur la genèse de ce genre musical, issu de clubs new-yorkais au début des années 70 et devenu un mouvement artistique majeur.
  • •Elle évoquera aussi ses attaches culturelles et politiques, qui s’accompagnent de nombreuses revendications sociales.

À VOIR ET ÉCOUTER

  • •Une scénographie inspirée des discothèques des années 70 et 80 a été imaginée, avec néons, projections, tapis imprimé qui forme un espace de danse, et une bande-son correspondante, inédite et immersive, mixée par Dimitri From Paris.
  • •De nombreux symboles du disco sont exposés : des projecteurs lumineux, des costumes de scène et robes de soirées ou du matériel de diffusion et d’enregistrement, ainsi que des documents et archives de l’époque.
  • •De Donna Summer à Gloria Gaynor, en passant par Chic ou Earth Wind & Fire, les plus grands artistes du genre sont passés en revue et leurs chansons décortiquées.
  • •En parallèle de l’exposition, la Philharmonie organise plusieurs rendez-vous. Si les concerts de Cerrone ou du Dabeull Live Band sont déjà complets, il reste des places pour des visites chantées guidées par la drag queen Élysée Moon ou pour un parcours réservé aux enfants préparé en collaboration avec le DJ Julien Granel.

L’agenda sportif de la semaine

Classiques et découvertes sont au programme de ce week-end de sport à Paris. Suivez le programme.

DEUX AFFICHES DE TOP 14

  • •Les deux clubs franciliens de première division de rugby jouent à domicile ce samedi, à 16h30.
  • •Le Stade Français, avant-dernier du championnat, reçoit la Section Paloise au stade Jean-Bouin, et le Racing 92, à une place de la zone rouge, accueille le RC Vannes à la Paris La Défense Arena.
  • •Après la rencontre du Racing 92, le DJ et producteur Kavinsky, figure de la French touch, se produira dans le stade dans le cadre du programme Racing Live.

UNE FINALE DE HOCKEY

  • •La finale de la Coupe de France de hockey sur glace se dispute ce dimanche à 15h à l’Accor Arena de Bercy.
  • •Elle oppose les Ducs d’Angers, vainqueurs de la compétition en 2022, et les Brûleurs de loups de Grenoble, double tenants du titre et premiers de la saison régulière en championnat cette saison. Billets ici.

COURIR AUX BUTTES-CHAUMONT

  • •Samedi, dès 10h, les Buttes-Chaumont prendront des allures de piste d’athlétisme avec la course annuelle de la Saint-Valentin.
  • •Des parcours de 10 km solo et 5 km en duo sont prévus. L’opération Cupidon est aussi reconduite : si vous ne souhaitez pas courir seul, l’organisation se chargera de vous trouver un ou une acolyte.
  • •Cette année, l’événement est déjà complet, mais chacun est invité à venir admirer le spectacle.

DU FUTSAL POUR LE NOUVEL AN LUNAIRE

  • •Pour clore les animations autour du Nouvel An lunaire, le club de futsal du Sporting Paris collabore avec l’entreprise de supermarchés asiatiques Tang Frères.
  • •Le Sporting, club le plus titré de France, affrontera l’Etoile lavalloise, double champion de France en titre, dans un match de niveau international, samedi à 16h30 à la Halle Georges Carpentier (13e).
  • •Des animations seront organisées par Tang Frères pour signer le début d’un nouveau partenariat entre ces deux institutions du 13earrondissement. Invitations gratuites à récupérer ici.

Le musée André-Jacquemart à la lueur de la bougie

Le musée Jacquemart-André propose, à partir de ce vendredi, de découvrir ses expositions permanentes lors de visites guidées à la bougie, sobrement intitulées Lueurs d’art.

LE CONCEPT

  • •Le musée Jacquemart-André abrite une collection exceptionnelled’œuvres acquises par les époux Nélie Jacquemart et Edouard André.
  • •Le lieu propose, du 14 février au 7 mars, les vendredis en fin de journée, de découvrir ses expositions permanentes lors d’une visite guidée à la lueur de la bougie (en réalité, des LED troublantes de ressemblance).
  • •Le parcours concerne les expositions permanentes, qui abritent de nombreuses peintures d’Europe de l’Est, avec des tableaux signés Giovanni Bellini, Sandro Botticelli, Rembrandt ou Jacques-Louis David, mais aussi des sculptures et du mobilier d’art.
  • •La billetterie et le calendrier complet des visites sont disponibles ici. Elles durent 1h, pour un tarif de 35 €.

UN LIEU D’EXCEPTION

  • •Nélie Jacquemart, artiste et passionnée d’art, et son mari Edouard André, riche héritier d’une famille de banquiers, député et surtout collectionneur et mécène, ont consacré une large partie de leur vie à chercher les plus belles œuvres à travers l’Europe.
  • •Le musée, qui expose toutes leurs collections, se niche dans un somptueux hôtel particulier du boulevard Haussmann, dans le 8e arrondissement, dans lequel les époux habitaient.
  • •A la mort de son époux en 1894, Nélie Jacquemart va continuer d’aménager le lieu et d’enrichir les collections. Elle va ensuite léguer, à sa mort en 1912, l’hôtel particulier à l’Institut de France, dans le but de faire découvrir ses oeuvres au plus large public possible.
  • •Le 8 décembre 1913, le musée est inauguré par le président de la République Raymond Poincaré, et va connaître un succès immédiat.

Gaîté lyrique : la justice ordonne l’évacuation de « 300 jeunes migrants majeurs »

Le juge des référés du tribunal administratif de Paris a ordonné, hier, « l’évacuation des 300 jeunes migrants majeurs qui occupent le théâtre de la Gaîté lyrique, dans un délai d’un mois », écrit Le Monde. Le statut de mineur que ces jeunes demandent n’a pas été reconnu. Ils ont déjà déposé un recours devant le tribunal pour enfants.

Des élèves bloquent leur lycée pour dénoncer les violences répétées d’un professeur

Des élèves du lycée Racine, dans le 8e, ont organisé jeudi matin un blocus devant leur établissement. « Ils accusent un professeur d’anglaisde faits de violences et craignent pour leur sécurité », décrit Le Parisien, malgré des signalements réguliers à la direction de l’établissement et au rectorat.

Source L’essentiel

Laisser un commentaire