Il y a quarante naissait le premier Bic, tout d’abord en grand format pour devenir ensuite plus petit et mini. Après avoir lancé ses stylos Bic, le baron se dit quel autre objet en plastique et d’un usage quotidien pourrais-je bien inventer.
Dans les années 70, tout le monde fumait joyeusement, hommes, femmes, jeunes et plus âgés y allaient de bon cœur et le briquet se trouvait à son aise dans les poches de pantalons et les sacs à main. Roderick ne se doutait pas au Moyen-âge quand il déclarait sa flamme à Cunégonde que des tonnes de siècles plus tard il aurait pu l’allumer mine de rien avec un petit briquet Bic. Donc, réaliser des briquets, c’était une bonne idée mais comment faire quand on est dans les crayons ?
En rachetant l’entreprise Flaminaire à Redon en Bretagne qui possédait un savoir indéniable dans ce domaine. Depuis cette époque, le mini et le grand bic n’ont cessé de s’habiller de jolis ou d’originaux dessins dans différents pays et sur différents continents. Le centre de recherche et développement reste à Redon et les briquets vendus en France sont fabriqués dans notre pays.
Une expo éphémère
Pour fêter les 40 printemps, la maison Bic a eu l’excellente idée d’exposer sa collec’ avec les pépites que chaque pays a réalisé avec de véritables œuvres d’art. Un maître pâtissier avait ouvragé un gâteau en briquet et un créateur de mode une magnifique robe à traîne.
Give me a light !
23 rue du roi de Sicile 75004 Paris
D. LE FUR
Bonjour,
Je suis complètement fan des briquets Bic mini je les collectionnent depuis quelques années.
Il m arrive parfois d’en acheter plusieurs en même temps.
Je les aiment tous, un grand bravo au créateurs chaque dessins sont originaux et souvent colorés
j adore ces objets