Des concerts gratuits sur le parvis de la mairie
aujourd’hui à vendredi, le parvis de l’Hôtel de Ville (4e) accueille la 13eédition du Fnac Live Paris, avec 3 soirées de concerts réunissant stars confirmées et jeunes talents.
- •Le festival est né d’une vision portée par Benoît Brayer, responsable des événements et des actions culturelles pour le groupe Fnac.
- •« Il rêvait d’un vrai festival gratuit, sur trois soirs, au cœur de Paris », explique Nicolas Preschey, programmateur indépendant qui a rejoint l’aventure en 2011.
- •Avec presque 15 000 visiteurs attendus, ce passionné de musique se réjouit d’avoir vu naître au fil des années « une vraie relation de confiance avec le public ».
- •S’il ne prétend pas s’aligner avec Solidays ou Rock en Seine, le Fnac Live a réussi à se faire une place parmi les festivals parisiens : « On aime raconter des histoires, en mêlant par exemple en une soirée, du rap, du rock et de la pop. »
- •La scène est en accès libre dès 17h, dans la limite des places disponibles. Des contrôles des sacs seront effectués à l’entrée.
- •Pour accueillir tout le monde dans de bonnes conditions, « tout a été pensé pour rafraîchir le public et les équipes techniques », assure-t-il.
- •Plus de 30 artistes seront réunis sur 3 soirées de concerts, qui démarrent dès 18h. Adèle Castillon, Air, Dalí, Eddy de Pretto, Olivia Ruiz ou Vladimir Cauchemar sont de la partie. Programmation complète ici.
- •Fidèle à son esprit de découverte, la scène est ouverte aux jeunes espoirs. « On n’hésite pas à insérer au milieu de grosses têtes d’affiche des inter-plateaux, avec des artistes émergents qui jouent sur scène pendant 20 minutes », explique Nicolas Preschey.
- •Et de donner un exemple concret : « Eddy de Pretto a joué ici comme artiste émergent. Aujourd’hui, il est tête d’affiche ».
- •« Cette année, je suis heureux d’accueillir St. Vincent, une grande dame du rock indé américain », conclut le programmateur, qui avoue avoir réalisé « un rêve de gosse » en 2023 en accueillant Beck au Fnac Live.
l’énergie solaire dans la capitale
L’Agence parisienne du climat organise ce mercredi un moment d’échange autour de l’énergie solaire. L’occasion d’en savoir plus sur les capacités de la ville et l’utilisation de cette ressource.
- •Créée en janvier 2011, l’Agence parisienne du climat « accompagne la mise en œuvre des Plans Climat de la Ville et de la Métropole du Grand Paris (MGP) », explique l’organisme.
- •Elle est « la structure opérationnelle de référence sur les sujets bâti, énergie, climat et adaptation au changement climatique ».
- •Elle donne rendez-vous ce soir dès 18h30 à la Maison des Mines et Ponts, au 270 rue Saint-Jacques (5e), pour une rencontre avec des acteurs du territoire et des experts de l’énergie solaire. Inscriptions obligatoires ici.
•Le dernier Plan Climat 2024 – 2030, présenté par la Ville l’année dernière, prévoit la création de 500 GWh d’énergies renouvelables en plus en 2030.
- •Pour atteindre cet objectif, il est nécessaire de développer la production locale d’énergie via l’installation de panneaux solaires, mais aussi le « recours à la géothermie » ou la « récupération des énergies perdues ».
- •La synthèse du Plan est accessible ici.
•La Ville travaille avec les bailleurs sociaux, la SNCF, l’État et le service Eau de Paris pour « accélérer le déploiement des panneaux solaires sur leurs patrimoines». L’objectif est de « multiplier par au moins 4 la production locale pour atteindre 20 à 25 GWh produits sur les toits parisiens hors équipements municipaux », précise le Plan.
- •La mairie a aussi annoncé la mise en place de « financements particuliers pour les études et la réalisation d’installations de production d’énergie solaire » pour les bailleurs sociaux.
- •Les copropriétés ne seront pas oubliées, avec un « dispositif d’accompagnement et de subventionnement des projets d’installation de centrales de production d’énergie solaire en autoconsommation ».
- •La Métropole a aussi lancé un appel à projets pour l’installation de 30 toitures solaires sur du patrimoine public.
La rénovation de la cité scolaire Jacques-Decour (9e) est un projet d’envergure, piloté par la Région Île-de-France avec la participation de la Ville de Paris et du Rectorat.
- •Le chantier démarre cet été. L’objectif ? Moderniser les installations, tout en restaurant les éléments de patrimoine.
- •Une réunion d’information se tient ce soir à 17h au sein de l’établissement. Elle est accessible aux parents d’élèves, mais également aux riverains souhaitant obtenir davantage d’informations.
- •La nature et la durée des travaux devraient être précisés, ainsi que leur impact sur les enseignements à partir de la rentrée.
- •Les travaux, d’un montant de 120 millions d’euros, sont financés à 70 % par la région. La Ville prend en charge les 30 % restants.
- •Seront rénovés les façades, fenêtres, cours et espaces de circulation. Leséléments historiques comme la cour d’honneur ou l’ancienne bibliothèque professorale, ainsi que les parquets, escaliers et boiseries, seront valorisés.
- •Côté installations, les équipements sportifs et la chapelle-théâtre, une fois réhabilités, devraient s’ouvrir ponctuellement aux associations locales et habitants du 9e.
- •Les travaux seront longs, puisqu’il s’agit de l’un des plus gros chantiers mis en place dans un établissement scolaire de la capitale.
- •Le collège-lycée a été construit par l’architecte Napoléon Alexandre Roger entre1867 et 1876, après la démolition des abattoirs de Montmartre.
- •Il a changé plusieurs fois de dénomination et a pris le nom de Jacques Decour en 1944. C’est le seul lycée parisien à avoir pris le nom d’un professeur résistant.
- •Outre ses élèves illustres (François Truffaut, Dominique Farrugia ou Michel Hazanavicius), il a également servi de décor pour des films et séries, dont Les 400 Coups et Lupin.
- •En 2025, l’établissement d’une superficie de 3,5 hectares accueille environ 1 700 élèves répartis entre le collège, le lycée et les classes préparatoires.
Tous les jours, durant tout l’été, des séances ou cours de tango argentin sont organisés partout dans la capitale.
- •Jusqu’à la fin de l’été, des sessions de tango collectives, parfois appelées milongas, du nom de ces bals tango typiques de l’Argentine, se mettent en place aux quatre coins de Paris.
- •Ouvertes à tous, elles sont souvent gratuites ou à très bas coûts.
- •Le site Tango-Argentin publie l’Agenda du tango, qui recense tous les événements mis en place dans la capitale, par des associations, groupes ou particuliers.
- •Si vous souhaitez partager gratuitement un événement organisé par vos soins, il suffit de remplir ce formulaire.
- •Rien que ce mercredi, 7 rendez-vous sont organisés, au Café Caminito à 14h (11e), au Milonda 1905 à 21h (20e), sur les places de la République (10e), Saint-Sulpice (6e), du Carrousel du Louvre (1er) ou Paul-Claudel (6e) et au bord de la Seine, Quai Saint-Bernard (5e), en fin de journée.
- •Ce calendrier a été créé en 2002 par Noël Blandin, auteur de Brève histoire du tango argentin (La République des Lettres), et est aujourd’hui géré par plusieurs collaborateurs, dont Enzo Maggi.
- •« Nous avons eu un rôle central, fédérateur pour la communauté tango. Le site a permis de créer un lien entre les gens », explique Enzo Maggi dans le podcast La Milonga.
- •Le site condense quelque 5 000 événements publiés chaque année par plus de 350 organisateurs, à Paris mais aussi dans quelques villes de la grande couronne, et ailleurs en France.
- •Le groupe Facebook Where to Dance Tango in Paris tonight ? réunit aussi des amateurs du style venus du monde entier et vivant à Paris.
Le musée du Louvre (4e) lance aujourd’hui son festival Les Étés du Louvre, une série d’animations culturelles et artistiques en tout genre jusqu’au 25 juillet.
- •La 2e édition de cet événement prévoit une trentaine de spectacles, concerts et animations.
- •Le premier des 3 grands temps forts de cette édition est l’installation d’un cinéma en plein air dans la cour Carrée du Louvre, dont les réservations sont malheureusement déjà closes.
- •Le 10 juillet, la Nuit de la mode se déroulera dans le musée et sous la pyramide, de 18h30 à 23h. La billetterie pour profiter de cette nocturne de concerts, ateliers et rencontres est ouverte ici depuis hier. 22 €, gratuit pour les moins de 26 ans.
- •Enfin, le programme Le Louvre invite Paris l’été proposera des spectacles de danse, de cirque, des concerts et des déambulations dans le jardin des Tuileries, du 15 au 25 juillet.
- •Tout l’été, les mercredis et vendredis soir, le musée organise des visites guidées express de 20 minutes, ouvertes à tous ceux en possession d’un billet du musée, dans les collections. Des conférenciers se relayent à 18h30, 19h, 19h30 et 20h.
- •Les expositions sur les Mamlouks, Louvre couture et Une passion chinoise sont notamment concernées.
- •Lundi 14 juillet, le musée propose une journée gratuite. La réservation est obligatoire pour accéder au musée.
- •Des ateliers d’initiation à la sculpture, à la nature morte ou au carnet de voyage, et bien d’autres, sont proposés tous les jours, pour toute la famille, dès 3 ans. Informations et réservations ici.
- •Enfin, des visites guidées, contées ou thématiques, sont aussi accessibles.
- •Le Louvre est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 9h à 18h (jusqu’à 21h les mercredis et vendredis).
Le niveau 4 du plan canicule activé
Mardi après-midi, la Ville a annoncé l’activation du niveau 4 du plan canicule, le plus élevé, alors que les températures avoisinaient les 38°. Celui-ci implique quelques nouvelles mesures, comme l’ouverture de parcs supplémentaires durant la nuit et des distributions de matériel adapté pour les sans abri, explique Actu Paris.
Velvet arrive sur les trains Paris-Bordeaux
La compagnie ferroviaire Velvet a annoncé le déploiement à venir d’une offre concurrente à la SNCF sur les trajets en train entre Paris et Bordeaux. L’ouverture du service devrait se faire d’ici 2028 et d’autres trains devraient relier Angers, Nantes et Rennes à la capitale, avec près de 10 millions de billets par an, explique Sud Ouest.
Une rétrospective spéciale cinéma japonais
À l’occasion du 30e anniversaire de la sortie du film Love Letter, du cinéaste japonais Iwai Shunji, la Maison de la culture du Japon (15e) organise unegrande rétrospective en l’honneur de cette figure du cinéma indépendant nippon, de ce soir au 12 juillet. Le réalisateur sera présent lors de plusieurs séances pour échanger.
- Ce soir, 17h puis 19h, puis jusqu’au 12 juillet.
- 101 bis Quai Jacques-Chirac, 15e.
- De 3 à 6 € par séance, billetterie ici.
Une exposition photo en plein air
Du 2 juillet au 7 août, les façades de la Caserne Napoléon (4e) s’habillent de clichés dans le cadre de l’exposition photo Nature sauvage à Paris. Celle-ci présente les images des 10 lauréatsd’un concours lancé par la Ville sur Instagram, invitant « les Parisiens à capturer la faune et la flore qui peuplent leur environnement urbain ».
- Jusqu’au 7 août.
- Caserne Napoléon, 4e.
- Gratuit.