Boire ou conduire, il faut choisir si l’on ne veut pas mourir. Ce type de message a beau être répété chaque année, mais les accidents dramatiques surviennent immanquablement au cours du Réveillon du Nouvel An.
RENTREZ EN VIE
Il est beaucoup plus meurtrier que celui de Noël qui se fête en famille et suscite, donc, moins de déplacements. Pour le Nouvel An, par contre, les réjouissances se déroulent entre amis, en boîte, au resto ou loin de son domicile. Il est d’ores et déjà certain que 95% des Françaises et Français vont fêter le réveillon et que la moitié boira plus de trois verres d’alcool.
A propos de l’alcoolémie, il faut savoir que nous sommes loin d’être égaux. Si dans les grandes villes, métro et bus permettent de ne pas rouler bourré, dans les petites agglomérations ou a la campagne, la situation se pose en d’autres termes.
Quelles sont les solutions ? Dormir sur place ou dans un petit hôtel proche, se disant que l’alcool ne disparaît pas en une heure ou deux et qu’au petit matin, il reste encore un peu, en plus de la casquette en plomb.
Concernant les jeunes, le capitaine de soirée est indispensable et doit être prévu avant le début des réjouissances et ce dernier, s’il boit un seul verre, doit être révoqué. Un autre truc consiste à utiliser un éthylomètre récent. Pour en savoir plus ou s’engager déjà à prévoir une solution sans danger, l’Association Prévention Routière et les Assureurs Prévention ont mis en place un site web : www.rentrerenvie.fr
D. LE FUR
Capitaine de soirée
image à la une //Accident avenue Jean-Jaures
