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ESSAI : Hyundai Kona

Le petit frère du Santa Fé et du Tucson. 

Le Hyundai Kona arrive sur un marché déjà bien fourni où trônent le Renault Captur, le Peugeot 2008 et le Citroën C3 AirCross notamment. Le premier contact est visuel. Le Kona en jette au niveau look, avec un style assez osé, marqué par une ligne anguleuse sur laquelle ont été greffés des protections en plastique.

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Tout cela accentue l’aspect aventurier, mais devraient surtout éviter à la carrosserie, les petits bobos des stationnements en ville. Le petit Hyundai, se distingue également par son apparence avant-gardiste grâce à ses feux à triple étage à l’avant. A l’intérieur, moins d’audace qu’à l’extérieur. Le tableau de bord reste classique avec un écran central tactile. Seule coquetterie autorisée : la possibilité d’opter pour de la couleur autour de la grille du levier de vitesse et des aérateurs.

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Un moteur dynamique.

Un seul bloc au lancement pour le Kona : un trois cylindres essence 1 litre Turbo de 120 chevaux, couplé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports. Un moteur sportif qui donne du dynamisme au Kona, avec une consommation mesurée à un peu moins de 7 litres en moyenne. Vont arriver très vite d’autres versions, notamment un moteur 1 litre 6 couplé à une boîte auto et quatre roues motrices. Egalement prévus, deux moteurs diesel et une configuration tout électrique, avec une autonomie annoncée de 500 kilomètres.

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Côté coût, le Kona est proposé en entrée de gamme , à 21.400 €, quand les concurrents débutent pour la plupart entre 17.000 € et 18.000 €. Cela dit l’équipement se révèle très généreux, avec de série la caméra de recul, l’aide au maintien de voie, la climatisation automatique et l’allumage automatique des phares. Soit exactement le même prix qu’un Nissan Juke équivalent et 2.900 € de moins qu’un Volkswagen T-Roc.

Christophe Dameron

 

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